Commentaires sur : La radio: un peu d’histoire
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Un site utilisant Réseau Wordpress NT2Wed, 10 Apr 2013 18:05:33 +0000hourly1http://wordpress.org/?v=3.3.1Par : liliabitar
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liliabitarTue, 29 Jan 2013 06:12:32 +0000http://blogue.nt2.uqam.ca/luisloya/?p=50#comment-3Écrire comme parler
La voix humaine tient une place privilégiée dans la communication radiophonique. À une certaine époque, j’ai travaillé à la radio; bulletins d’information, reportages, chansons…mais rien n’égale la voix humaine, non seulement elle a pour fonction d’assurer le contact avec les auditeurs mais encore de les maintenir, elle devient alors elle-même message. La radio a un langage propre fait de paroles. Écrire pour la radio, c’est écrire pour l’oreille; écrire comme on parle et laisser le texte couler.Écrire comme parler
La voix humaine tient une place privilégiée dans la communication radiophonique. À une certaine époque, j’ai travaillé à la radio; bulletins d’information, reportages, chansons…mais rien n’égale la voix humaine, non seulement elle a pour fonction d’assurer le contact avec les auditeurs mais encore de les maintenir, elle devient alors elle-même message. La radio a un langage propre fait de paroles. Écrire pour la radio, c’est écrire pour l’oreille; écrire comme on parle et laisser le texte couler.
]]>Par : marieclaudedilillo
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marieclaudedililloTue, 22 Jan 2013 22:20:26 +0000http://blogue.nt2.uqam.ca/luisloya/?p=50#comment-2Je trouve, cher Luis, ton sujet très intéressant et très pertinent surtout dans le contexte actuel d'interculturalisme et de mondialisation. Un peu d'histoire est toujours utile pour nous situer dans la chronologie des événements. Mais j'ai hâte de te lire dans les prochaines semaines pour apprendre les liens que tu fais entre la radio d'aujourd'hui (donc l'usage de la parole), le texte littéraire qui la sous-tend, et le discours culturel. Les médias permettent aux communautés et aux habitants de différents pays de communiquer entre eux mais peuvent aussi diviser la planète en mettant l'emphase sur les différences culturelles. Une analyse du discours de l'émission Franol (que je ne connaissais pas d'ailleurs) permettra d'apporter un éclairage intéressant des "rencontres" entre les différents discours francophones (et francophiles) et hispanophones (et hispanophiles).
Pour répondre à tes questions : C'est drôle parce que dans mon jeune temps (sic!), j'ai fais un certificat en information et journalisme à l'UDM et c'est en radio que je me suis spécialisée. Mais 20 ans plus tard, je n'écoute presque plus la radio, sauf 95.9 fm pour la musique! Je ne suis donc plus au diapason aujourd'hui pour donner mon avis sur la radio. J'ai honte, mais j'écoute beaucoup plus la télé, média moins raffiné et moins subtil à mon avis, car l'image nous accapare trop au détriment de la parole. Mais c'est dans l'air du temps... un monde d'images! Merci de revenir à ce médium qui redonne ses lettres de noblesse au journalisme et à la langue (qu'elle soit française ou espagnole) ! Bravo!Je trouve, cher Luis, ton sujet très intéressant et très pertinent surtout dans le contexte actuel d’interculturalisme et de mondialisation. Un peu d’histoire est toujours utile pour nous situer dans la chronologie des événements. Mais j’ai hâte de te lire dans les prochaines semaines pour apprendre les liens que tu fais entre la radio d’aujourd’hui (donc l’usage de la parole), le texte littéraire qui la sous-tend, et le discours culturel. Les médias permettent aux communautés et aux habitants de différents pays de communiquer entre eux mais peuvent aussi diviser la planète en mettant l’emphase sur les différences culturelles. Une analyse du discours de l’émission Franol (que je ne connaissais pas d’ailleurs) permettra d’apporter un éclairage intéressant des « rencontres » entre les différents discours francophones (et francophiles) et hispanophones (et hispanophiles).
Pour répondre à tes questions : C’est drôle parce que dans mon jeune temps (sic!), j’ai fais un certificat en information et journalisme à l’UDM et c’est en radio que je me suis spécialisée. Mais 20 ans plus tard, je n’écoute presque plus la radio, sauf 95.9 fm pour la musique! Je ne suis donc plus au diapason aujourd’hui pour donner mon avis sur la radio. J’ai honte, mais j’écoute beaucoup plus la télé, média moins raffiné et moins subtil à mon avis, car l’image nous accapare trop au détriment de la parole. Mais c’est dans l’air du temps… un monde d’images! Merci de revenir à ce médium qui redonne ses lettres de noblesse au journalisme et à la langue (qu’elle soit française ou espagnole) ! Bravo!
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