Commentaires pour Luis Loya http://blogue.nt2.uqam.ca/luisloya Un site utilisant Réseau Wordpress NT2 Wed, 10 Apr 2013 18:05:33 +0000 hourly 1 http://wordpress.org/?v=3.3.1 Commentaires sur Frañol radio : un métissage culturel et une nouvelle citoyenneté par luisloyagarcia http://blogue.nt2.uqam.ca/luisloya/2013/03/25/franol-radio-un-metissage-culturel-et-une-nouvelle-citoyennete/#comment-44 luisloyagarcia Wed, 10 Apr 2013 18:05:33 +0000 http://blogue.nt2.uqam.ca/luisloya/?p=142#comment-44 Bonjour Marie-Claude, Non. À Frañol radio, je n’ai pas écouté des conversations concernant la nourriture. Au Mexique, la nourriture autochtone est une partie très importante du pays. En fait, la nourriture mexicaine a été considérée comme patrimoine de l’humanité par l’UNESCO en 2010. Je partage avec toi une vidéo de Lila Downs; la chanson explique le processus d’élaboration de la mole. Oui, on doit parler de la nourriture et célébrer la fin du semestre. À bientôt querida!  :) http://youtu.be/tMpMOOAQ_90 Bonjour Marie-Claude,
Non. À Frañol radio, je n’ai pas écouté des conversations concernant la nourriture. Au Mexique, la nourriture autochtone est une partie très importante du pays. En fait, la nourriture mexicaine a été considérée comme patrimoine de l’humanité par l’UNESCO en 2010. Je partage avec toi une vidéo de Lila Downs; la chanson explique le processus d’élaboration de la mole. Oui, on doit parler de la nourriture et célébrer la fin du semestre. À bientôt querida!  :)
http://youtu.be/tMpMOOAQ_90

]]>
Commentaires sur Frañol radio : un métissage culturel et une nouvelle citoyenneté par marieclaudedilillo http://blogue.nt2.uqam.ca/luisloya/2013/03/25/franol-radio-un-metissage-culturel-et-une-nouvelle-citoyennete/#comment-43 marieclaudedilillo Wed, 10 Apr 2013 16:00:19 +0000 http://blogue.nt2.uqam.ca/luisloya/?p=142#comment-43 C'est amusant comme nos sujets de mémoire peuvent se ressembler par moment, ce qui rend encore plus intéressant la lecture de tes publications de blogue. Je n'ai pas toujours commenté tes entrées mais je les ai toutes lues avec intérêt. Quand je parle d emon sujet, je ne parle pas tant de nourriture (quoi que la nourriture a sa part d'oralité aussi) mais surtout de culture, de métissage, d'identités. Moi aussi j'explore ce qu'on pourrait appeler les "Intercultural studies" avec l'oeuvre d'écrivains et d'écrivaines immigrants qui mettent en scène la nourriture de leur pays. Même si, je dois l'avouer, j'ai moins exploré cette facette de mon travail de mémoire sur ce blogue, le voyant plutôt comme une plate-forme pour laisser libre cours à mes aptitudes journalistiques. Je pense qu'au-delà du blogue nous avons au moins trois points en commun toi et moi : l'amour des voyages, de la découverte de l'Autre et un fort questionnement identitaire sur nos racines et notre devenir. En plus d'aimer la nourriture et le vin! En passant, j'adoooooore la nourriture mexicaine : Le poulet a la "mole" et les Enchiladas con Margaritas sont mes plats préférés ! ; ) L'oralité est intéressante à explorer : dans ton sujet c'est ce qui se dit à la radio, en littérature c'est le conte qui me parle le plus et dans mon sujet c'est le geste même de manger et de raconter ses expériences gustatives. Le premier contact qu'on a avec une autre culture, à mon avis, c'est la nourriture. Cela permet d'établir un lien, de développer une curiosité et un intérêt envers l'autre. Est-ce qu'il y a des émissions de cuisine sur Franol radio ? Quels sont les chefs connus de ton pays ? que dirais-tu d'en discuter autour d'un souper con vino tinto, mi querrido ? C’est amusant comme nos sujets de mémoire peuvent se ressembler par moment, ce qui rend encore plus intéressant la lecture de tes publications de blogue. Je n’ai pas toujours commenté tes entrées mais je les ai toutes lues avec intérêt. Quand je parle d emon sujet, je ne parle pas tant de nourriture (quoi que la nourriture a sa part d’oralité aussi) mais surtout de culture, de métissage, d’identités. Moi aussi j’explore ce qu’on pourrait appeler les « Intercultural studies » avec l’oeuvre d’écrivains et d’écrivaines immigrants qui mettent en scène la nourriture de leur pays. Même si, je dois l’avouer, j’ai moins exploré cette facette de mon travail de mémoire sur ce blogue, le voyant plutôt comme une plate-forme pour laisser libre cours à mes aptitudes journalistiques. Je pense qu’au-delà du blogue nous avons au moins trois points en commun toi et moi : l’amour des voyages, de la découverte de l’Autre et un fort questionnement identitaire sur nos racines et notre devenir. En plus d’aimer la nourriture et le vin! En passant, j’adoooooore la nourriture mexicaine : Le poulet a la « mole » et les Enchiladas con Margaritas sont mes plats préférés ! ; ) L’oralité est intéressante à explorer : dans ton sujet c’est ce qui se dit à la radio, en littérature c’est le conte qui me parle le plus et dans mon sujet c’est le geste même de manger et de raconter ses expériences gustatives. Le premier contact qu’on a avec une autre culture, à mon avis, c’est la nourriture. Cela permet d’établir un lien, de développer une curiosité et un intérêt envers l’autre. Est-ce qu’il y a des émissions de cuisine sur Franol radio ? Quels sont les chefs connus de ton pays ? que dirais-tu d’en discuter autour d’un souper con vino tinto, mi querrido ?

]]>
Commentaires sur La radio: un peu d’histoire par liliabitar http://blogue.nt2.uqam.ca/luisloya/2013/01/20/la-radio-un-peu-dhistoire/#comment-3 liliabitar Tue, 29 Jan 2013 06:12:32 +0000 http://blogue.nt2.uqam.ca/luisloya/?p=50#comment-3 Écrire comme parler La voix humaine tient une place privilégiée dans la communication radiophonique. À une certaine époque, j’ai travaillé à la radio; bulletins d’information, reportages, chansons…mais rien n’égale la voix humaine, non seulement elle a pour fonction d’assurer le contact avec les auditeurs mais encore de les maintenir, elle devient alors elle-même message. La radio a un langage propre fait de paroles. Écrire pour la radio, c’est écrire pour l’oreille; écrire comme on parle et laisser le texte couler. Écrire comme parler
La voix humaine tient une place privilégiée dans la communication radiophonique. À une certaine époque, j’ai travaillé à la radio; bulletins d’information, reportages, chansons…mais rien n’égale la voix humaine, non seulement elle a pour fonction d’assurer le contact avec les auditeurs mais encore de les maintenir, elle devient alors elle-même message. La radio a un langage propre fait de paroles. Écrire pour la radio, c’est écrire pour l’oreille; écrire comme on parle et laisser le texte couler.

]]>
Commentaires sur La radio: un peu d’histoire par marieclaudedilillo http://blogue.nt2.uqam.ca/luisloya/2013/01/20/la-radio-un-peu-dhistoire/#comment-2 marieclaudedilillo Tue, 22 Jan 2013 22:20:26 +0000 http://blogue.nt2.uqam.ca/luisloya/?p=50#comment-2 Je trouve, cher Luis, ton sujet très intéressant et très pertinent surtout dans le contexte actuel d'interculturalisme et de mondialisation. Un peu d'histoire est toujours utile pour nous situer dans la chronologie des événements. Mais j'ai hâte de te lire dans les prochaines semaines pour apprendre les liens que tu fais entre la radio d'aujourd'hui (donc l'usage de la parole), le texte littéraire qui la sous-tend, et le discours culturel. Les médias permettent aux communautés et aux habitants de différents pays de communiquer entre eux mais peuvent aussi diviser la planète en mettant l'emphase sur les différences culturelles. Une analyse du discours de l'émission Franol (que je ne connaissais pas d'ailleurs) permettra d'apporter un éclairage intéressant des "rencontres" entre les différents discours francophones (et francophiles) et hispanophones (et hispanophiles). Pour répondre à tes questions : C'est drôle parce que dans mon jeune temps (sic!), j'ai fais un certificat en information et journalisme à l'UDM et c'est en radio que je me suis spécialisée. Mais 20 ans plus tard, je n'écoute presque plus la radio, sauf 95.9 fm pour la musique! Je ne suis donc plus au diapason aujourd'hui pour donner mon avis sur la radio. J'ai honte, mais j'écoute beaucoup plus la télé, média moins raffiné et moins subtil à mon avis, car l'image nous accapare trop au détriment de la parole. Mais c'est dans l'air du temps... un monde d'images! Merci de revenir à ce médium qui redonne ses lettres de noblesse au journalisme et à la langue (qu'elle soit française ou espagnole) ! Bravo! Je trouve, cher Luis, ton sujet très intéressant et très pertinent surtout dans le contexte actuel d’interculturalisme et de mondialisation. Un peu d’histoire est toujours utile pour nous situer dans la chronologie des événements. Mais j’ai hâte de te lire dans les prochaines semaines pour apprendre les liens que tu fais entre la radio d’aujourd’hui (donc l’usage de la parole), le texte littéraire qui la sous-tend, et le discours culturel. Les médias permettent aux communautés et aux habitants de différents pays de communiquer entre eux mais peuvent aussi diviser la planète en mettant l’emphase sur les différences culturelles. Une analyse du discours de l’émission Franol (que je ne connaissais pas d’ailleurs) permettra d’apporter un éclairage intéressant des « rencontres » entre les différents discours francophones (et francophiles) et hispanophones (et hispanophiles).
Pour répondre à tes questions : C’est drôle parce que dans mon jeune temps (sic!), j’ai fais un certificat en information et journalisme à l’UDM et c’est en radio que je me suis spécialisée. Mais 20 ans plus tard, je n’écoute presque plus la radio, sauf 95.9 fm pour la musique! Je ne suis donc plus au diapason aujourd’hui pour donner mon avis sur la radio. J’ai honte, mais j’écoute beaucoup plus la télé, média moins raffiné et moins subtil à mon avis, car l’image nous accapare trop au détriment de la parole. Mais c’est dans l’air du temps… un monde d’images! Merci de revenir à ce médium qui redonne ses lettres de noblesse au journalisme et à la langue (qu’elle soit française ou espagnole) ! Bravo!

]]>