Louise Roux est docteure en études théâtrales au sein du laboratoire d’ethnoscénologie fondé par Jean-Marie Pradier. En 2015, elle soutient, à l’Université Paris 8, sa thèse consacrée au retour du collectif dans le théâtre français contemporain, dirigée par Jean-François Dusigne. Elle est également actrice et metteuse en scène dans diverses compagnies et dirige des projets de recherche-création s’intéressant aux espaces théâtraux non conventionnels, aux normes de la production du savoir et aux processus collaboratifs. Depuis 2010, elle se passionne pour la pédagogie et enseigne la pratique de la création collective à l’Université Paris 8, mais aussi à Sciences-po Paris et au Théâtre de la Ville.
Bibliographie :
Roux L. (2014), « Le D’ores et déjà, une utopie pragmatique » dans Doyon R. et Freixe G. (dir.), Les Collectifs dans les arts vivants depuis les années 1980, L’Entretemps, Montpellier, p.127-144.
Roux, L. (2016). « L’utopie pragmatique des collectifs théâtraux des années 2000 » dans Socio-Anthropologie n°33, « Des collectifs éphémères », numéro dirigé par Poirot-Delpech S., Paris, Publications de la Sorbonne, p.47-59.
Roux, L. (à paraître en 2016). « L’autre chemin des collectifs théâtraux du XXIème siècle : de la non-transmission à la réinvention. », Aparté | Arts vivants, n°4, « Dérives et dérivations du collectif », Montréal.
Roux L. (à paraître en 2016), « Identité, pirandellisme et Tarahumaras, analyse de la performance par l’actrice » dans Frigaü C. (Dir.), La Scène en miroir. Regards sur le métathéâtre en Italie. En hommage à François Decroisette, Paris, Classiques Garnier.