Malgré qu’elle ne soit pas la plus joyeuse, la période moderne est, d’entre toutes, celle offrant à l’homme le plus grand nombre d’occasions pour jouer ; Fink croit que l’homme doit chercher à comprendre le jeu sans succomber à la dichotomie facile jeu/sérieux ou à la simple association jeu-plaisir. Sa réflexion est présentée en trois partie : la caractérisation du jeu, l’analyse de sa structure (et particulièrement de la séparation jeu/réel et du plaisir du joueur) et la relation entre Être et jouer (le monde ludique existerait au même titre que la réflexion réelle du réel, sur la surface de l’eau par exemple - entrelacement du réel et de l’irréel).