L'auteur inscrit l'interactivité dans le long cheminement de la représentation vers un réalisme toujours plus grand. Puisqu'il incarne plus ou moins directement le héros d'une histoire, le spectateur ne serait plus confronté à une narration. À la suite de Manovich, l'auteur discute de la prépondérance acquise récemment par la base de données, nouveau paradigme de notre rapport à la représentation.