La syntaxe tabulaire en manga [1]
«Comment se déconstruit la stricte lecture linéaire en mange dans les cas où les planches présentent plutôt une syntaxe tabulaire? Il s'agit d'une pratique initiée à la fondation du manga moderne qui s'est développé avec l'émancipation du shojo manga dans les années 1970 pour ensuite déborder dans certains shonen des années 1980.»
Bibliographie
Tezuka, Osamu. 1984. Shin Takarajima. Tōkyō: Kōdansha, 222p.
McCloud, Scott. 2007. L'art invisible. Paris: Delcourt, 92p.
Tezuka, Osamu. 2009. Ribon No Kishi. Tōkyō: Kōdansha, 437p.
Ikeda, Riyoko. 2006. Berusaiyu No Bara. Tōkyō: Shūeisha, 246p.
Yazawa, Ai. 2000. Nana. Tōkyō: Shūeisha, 179p.
Adachi, Mitsuru. 2006. H2. Paris: Tonkam, 188p.
«Comment se déconstruit la stricte lecture linéaire en mange dans les cas où les planches présentent plutôt une syntaxe tabulaire? Il s'agit d'une pratique initiée à la fondation du manga moderne qui s'est développé avec l'émancipation du shojo manga dans les années 1970 pour ensuite déborder dans certains shonen des années 1980.»