«Lorsque j’ai commencé à travailler sur la maison, au sens anthropologique et architectural, mais aussi la maison comme figure et comme matériau de l’art, j’avais fait le choix de cesser d’écrire de la fiction depuis un moment déjà.
Travailler sur la maison, poser le problème de l’habité et de la coexistence dans la perspective d’une critique de la culture – de ma culture – c’était une tentative de porter à conséquence mes réflexions éthiques sur le don et le geste créateur dans mes relations, dans mes actions, aussi bien dire : dans ma vie.
J’étais poussée par cette question : comment répondre au présent depuis une posture de création?»
Archive vidéo de la communication
Friday 25 November 2016
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Le corps contemporain et l'espace vécu: entre imaginaire et expérience
Lorsque j’ai commencé à travailler sur la maison, au sens anthropologique et architectural, mais aussi la maison comme figure et comme matériau de l’art, j’avais fait le choix de cesser d’écrire de la fiction depuis un moment déjà.
<span class="biblio-authors" >Lachapelle, Louise</span>. 2017. « <span class="biblio-title" >How can a place enter our skin down to the very verb of us</span> ». Dans le cadre de <span style="font-style: italic;">Le corps contemporain et l'espace vécu: entre imaginaire et expérience</span>. Colloque organisé par Figura, le Centre de recherche sur le texte et l'imaginaire. Saint-Jérôme, Musée d'art contemporain des Laurentides, 25 novembre 2016. Document vidéo. En ligne sur le site de l’Observatoire de l’imaginaire contemporain. <https://oic.uqam.ca/fr/communications/how-can-a-place-enter-our-skin-down-to-the-very-verb-of-us>. <span class="Z3988" title="ctx_ver=Z39.88-2004&rft_val_fmt=info%3Aofi%2Ffmt%3Akev%3Amtx%3Adc&rft.title=How+can+a+place+enter+our+skin+down+to+the+very+verb+of+us&rft.date=2017&rft.aulast=Lachapelle&rft.aufirst=Louise&rft.pub=Figura%2C+le+Centre+de+recherche+sur+le+texte+et+l%26%23039%3Bimaginaire&rft.place=Saint-J%C3%A9r%C3%B4me%2C+Mus%C3%A9e+d%26%23039%3Bart+contemporain+des+Laurentides"></span>