Il y a quelque chose de pourri au royaume de St-Andrews: «Le Cœur a ses raisons» comme «sporting club» des tropes [1]
Présentation de la communication
«Inversement de la dynamique de saupoudrage de tropes, Le cœur à ses raisons n’effectue pas cette édulcoration des concepts comme le propose TVtropes.com [2] mais se construit une diégèse "cohérente" en utilisant le trope comme substance même du récit. Des questions s’imposent comme: que nous reste-t-il quand le récit est composé simplement de tropes? Y a-t-il déconstruction ou plutôt célébration?
Je pense à décliner ma présentation sur deux points: le premier sur l’usage du canon du telenovella et du soap comme générateur de tropes et en deuxième temps, d’observer comment dans un récit entièrement composé de tropes, c’est les non-tropes qui finissent par devenir saillants.»
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«Inversement de la dynamique de saupoudrage de tropes, Le cœur à ses raisons n’effectue pas cette édulcoration des concepts comme le propose TVtropes.com [2] mais se construit une diégèse "cohérente" en utilisant le trope comme substance même du récit. Des questions s’imposent comme: que nous reste-t-il quand le récit est composé simplement de tropes? Y a-t-il déconstruction ou plutôt célébration?
Je pense à décliner ma présentation sur deux points: le premier sur l’usage du canon du telenovella et du soap comme générateur de tropes et en deuxième temps, d’observer comment dans un récit entièrement composé de tropes, c’est les non-tropes qui finissent par devenir saillants.»