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Une véritable texture lumineuse traverse toute l'oeuvre de du dramaturge français Didier-Georges Gabily : l'éblouissement qui caractérise le personnage de Ravie dans Violences et qui traduit en signes lumineux le trop-plein émotionnel d'un traumatisme qui se dévoilera petit à petit.
Pour citer ce document (Computed):
<span class="biblio-authors" >Huffman, Shawn</span>. 2010. « <span class="biblio-title" >Atelier de lumières. Éclairages et création chez Didier-geaorges Gabily</span> ». Dans <span style="font-style: italic;">Textures lumineuses. Éblouissements, ombres et obscurités</span>. Article d’un cahier Figura. En ligne sur le site de l’Observatoire de l’imaginaire contemporain. <https://oic.uqam.ca/fr/articles/ateliers-de-lumiere-eclairages-et-creation-chez-didier-georges-gabily>. D’abord paru dans (<span class="biblio-authors" >Huffman, Shawn</span> (dir.). 2010. Montréal : Figura, Centre de recherche sur le texte et l'imaginaire. coll. Figura, vol. 23, p. 31-44).<span class="Z3988" title="ctx_ver=Z39.88-2004&rft_val_fmt=info%3Aofi%2Ffmt%3Akev%3Amtx%3Adc&rft.title=Atelier+de+lumi%C3%A8res.+%C3%89clairages+et+cr%C3%A9ation+chez+Didier-geaorges+Gabily&rft.date=2010&rft.volume=23&rft.spage=31&rft.epage=44&rft.aulast=Huffman&rft.aufirst=Shawn&rft.pub=Figura%2C+Centre+de+recherche+sur+le+texte+et+l%26%23039%3Bimaginaire&rft.place=Montr%C3%A9al"></span>