Pandémie fictions
Dans le cadre de cet épisode, Antonio Dominguez Leiva discute pandémie et fictions avec Christophe Becker, Clémentine Hougue, Elaine Després et Manouk Borzakian.
Dans le cadre de cet épisode, Antonio Dominguez Leiva discute pandémie et fictions avec Christophe Becker, Clémentine Hougue, Elaine Després et Manouk Borzakian.
Avec la nouvelle saison de Walking Dead, la marche annuelle de zombies de Montréal et la parution en salles du film québécois Les Affamés, le zombie fait toujours sentir sa présence dans la sphère culturelle populaire contemporaine. Jean-Michel Berthiaume était de passage à l'émission « Les Malins » pour discuter de notre fascination pour cette figure de l'abjection, de la désintégration des corps et de la chute de la société.
Au XIXe siècle, les histoires de vampires se sont répandues parallèlement à la syphilis. Au début du 21e siècle, les zombies ont connu un regain de popularité au moment où la peur de la grippe aviaire était contagieuse... Aujourd'hui, c'est dans ce terreau imaginaire fertile qu'arrive le virus Ebola. Écoutez Antonio Dominguez Leiva parler des liens entre les maladies infectieuses et la fiction, entre la peur des zombies et celle de l'Ebola, à l'émission «C'est pas trop tôt» sur les ondes de ICI Radio-Canada Première.
Créature fictive, le zombie? Peut-être, mais ils sont parmi nous quand même, que ce soit dans le cinéma, la télévision, les jeux vidéo ou simplement dans la philosophie en cette époque de grandes avancées médicales et technologiques. Un colloque universitaire international se penchera donc sur la question très sérieuse des zombies du 5 au 7 juillet à l'UQAM. Deux organisateurs du colloque, Invasion Montréal, viennent nous en parler.
Pour paver le chemin à l'INVASION MONTREAL, retrouvez d'ores et déjà l'entretien radiophonique sur les zombies animé jadis par Patrick Sénécal, Marc Lamothe et Antonio Dominguez Leiva à l'occasion du triomphant ZombieWalk montréalais.
Dans le cadre de l’esthétique contemporaine du cadavre, peu de phénomènes ont semblé plus marquants, depuis Night of the Living Dead (G. A. Romero, 1968) que la surenchère transmédiatique et véritablement planétaire des morts-vivants. Si les années 90 ont été caractérisées par une sorte de «mort», ou à tout le moins de «stase», du zombie au cinéma, la créature, fidèle à elle-même, est réapparue de plus belle au tournant du nouveau millénaire et a maintenant envahi divers recoins de notre iconosphère globale.
Les zombies prendront d'assaut l'université début juillet... et Pop-en-Stock sera aux premières loges.