Titre | Archipel suivi de L'étrangère en son royaume : la psyché du lieu chez Marguerite Duras |
Type de publication | Thèse ou mémoire |
Année de publication | 2012 |
Auteur·e·s | Dominique Chantraine |
Supervision de recherche | Catherine Mavrikakis |
Département des littératures de langue française | |
Université | Université de Montréal |
Ville | Montréal |
Type de travail | Mémoire |
Diplôme | Maîtrise en littératures de langue française |
Mots-clés | autobiographie, création littéraire, enfance, lieu, Marguerite Duras |
Résumé | À partir de courts récits, la narratrice reconstitue le passé d’une famille. Le personnage central, une petite fille, est la narratrice qui retrace les événements qui ont mené à l’éclatement de la cellule familiale. Cette histoire autobiographique est rédigée au « elle » dans un souci de se distancier de ce passé. La petite fille a grandi et la narratrice qu’elle est devenue se réapproprie son héritage : la possibilité d’écrire cette histoire. Dans l’œuvre de Marguerite Duras, les lieux sont souvent sollicités pour participer à la narration des événements. Dans La pute de la côte normande et Écrire, deux œuvres autobiographiques rédigées au « je », les lieux sont ceux du quotidien. Ceux-ci sont révélateurs de la psychologie de l’auteure et se mêlent à la préoccupation d’écrire. Ainsi, Marguerite Duras, ses lieux et son écriture se retrouvent-ils liés par le langage de l’auteure, lequel témoigne du vide laissé par la mort de son père.
Source : Papyrus
|
URL | https://papyrus.bib.umontreal.ca/xmlui/bitstream/handle/1866/9187/Chantraine_Dominique_2012-memoire.pdf?sequence=2&isAllowed=y |
Supervision de recherche: