Mémoires et thèses

(en chemin) Pénélope suivi de Paysages de l'absence : apparition et disparition chez Jean-Aubert Loranger, Fernand Leduc et Jacques Brault

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Titre(en chemin) Pénélope suivi de Paysages de l'absence : apparition et disparition chez Jean-Aubert Loranger, Fernand Leduc et Jacques Brault
Type de publicationThèse ou mémoire
Année de publication2008
Auteur·e·sÉlodie Adam-Vézina
Supervision de rechercheCatherine Mavrikakis
Département des littératures de langue française
UniversitéUniversité de Montréal
VilleMontréal
Type de travailMémoire
DiplômeMaîtrise en littératures de langue française
Mots-clésarts visuels, création, Fernand Leduc, Jacques Brault, Jean-Aubert Loranger, littérature québécoise, modernité littéraire, poésie
Résumé
Ce mémoire en création, bien qu'étant constitué de deux parties distinctes, ne saurait se limiter à cette simple apposition. En effet, l'essai et le recueil ont non seulement été rédigés simultanément, mais se sont plus encore nourris l'un l'autre. Les recueils Moments fragiles (1984) de Jacques Brault et Poëmes (1922) de Jean-Aubert Loranger ont été abordés dans l'optique de mettre au jour une poétique et certains procédés littéraires non étrangers aux techniques picturales utilisées par Fernand Leduc lors de la réalisation de ses œuvres les plus récentes, ses Microchromies. La forme des poèmes, apparentée au haïku, le rapport difficile au temps et au lieu qui sous-tend les recueils, ainsi que la singulière subjectivité de ces œuvres sont ainsi mis en parallèle avec les tableaux du peintre, regard d'un sujet situé non plus devant mais dans le monde, et dont le travail de superposition de couches d'acrylique fait surgir sur la toile, en apparence monochrome, une lumière qui évoque (plus qu'elle ne montre) des paysages. L'apparition et la disparition sont par le fait même des notions utiles à l'analyse des tableaux de Leduc tout comme celle des recueils de Brault et de Loranger, ces derniers témoignant d'une présence au monde ténue, dans une posture d'attente qui est un fondement de ces œuvres. Il en va de même de la création en chemin (Pénélope), recueil convoquant Pénélope en tant que figure marquée par l'attente, le travail à rebours, le deuil impossible de ce qui n'advient pas. Sur le plan formel, ce rapport à l'absence et au temps, jamais vécu en tant que « pure présence », trouvera écho dans des poèmes courts au rythme syncopé, portés par une voix plus près de la parole Clue du chant. Quelques poèmes en prose viennent cependant ponctuer le recueil, instaurant une certaine fluidité à son tour interrompue par un retour à la brièveté du poème en vers libres, voire du fragment.
 
Source : Papyrus
URLhttps://papyrus.bib.umontreal.ca/xmlui/bitstream/handle/1866/7249/Adam-Vezina_Elodie_2009_memoire.pdf?sequence=1&isAllowed=y
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