Titre | Seuils suivi de Il n'y a pas de porte |
Type de publication | Thèse ou mémoire |
Année de publication | 2008 |
Auteur·e·s | Ève Messier |
Supervision de recherche | Catherine Mavrikakis |
Département des littératures de langue française | |
Université | Université de Montréal |
Ville | Montréal |
Type de travail | Mémoire |
Diplôme | Maîtrise en littératures de langue française |
Mots-clés | création, deuil, mémoire, subjectivité, Turcotte |
Résumé | Le récit se construit sur le motif de la maison, comme lieu d'exil dans la familiarité même. La maison permet de mettre en scène une subjectivité paradoxale qui est à la fois exil de soi et présence à soi. À travers une poétique du lieu, une poétique du sujet est mise en place. La maison, la demeure, le lieu reflètent ici une représentation schématique du sujet. Le récit tend à un voyage dans le rêve de la subjectivité d'un personnage. Seuils est construit à l'image d'une toile narrative, formée d'une suite de fragments déployant une multiplicité de temps qui explorent le motif de la porte et de ses seuils, et le thème de la mémoire en tant qu'altérité en soi. L'essai inscrit l'écriture du récit dans une trame marquant la progression du projet, « de la conception à la réalisation ». Il y est question d'écriture et de langage. L'essai sonde les mécanismes des personnages, les rouages de l'altérité en soi, le jeu de la mémoire ainsi que le rapport de celle-ci au deuil dans La maison étrangère d'Élise Turcotte. Il s'agit de portes qui s'ouvrent et se referment sur des fragments de réflexions, personnelles et théoriques, et un accompagnement de la pensée de Turcotte.
Source : Papyrus
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URL | https://papyrus.bib.umontreal.ca/xmlui/bitstream/handle/1866/7268/Messier_Eve_2009_memoire.pdf?sequence=1&isAllowed=y |
Supervision de recherche: