Volume:
23
Year:
2010
Une véritable texture lumineuse traverse toute l'oeuvre de du dramaturge français Didier-Georges Gabily: l'éblouissement qui caractérise le personnage de Ravie dans Violences et qui traduit en signes lumineux le trop-plein émotionnel d'un traumatisme qui se dévoilera petit à petit, les ombres dans Gibiers du temps, associées au choeur et à travers lesquelles sera racontée une histoire de survivance, et finalement, la noirceur de Lalla (ou la terreur), pièce dans laquelle une absence de lumière projette les personnages dans «un long voyage au bout de la nuit», pour reprendre cette expression de Céline.
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To cite this document:
Atelier de lumières. Éclairages et création chez Didier-geaorges Gabily”. In Textures lumineuses. Éblouissements, ombres et obscurités. Article d’un cahier Figura. Available online: l’Observatoire de l’imaginaire contemporain. <https://oic.uqam.ca/en/articles/ateliers-de-lumiere-eclairages-et-creation-chez-didier-georges-gabily>. Accessed on May 1, 2023. Source: ( (ed.). 2010. Montréal: Figura, Centre de recherche sur le texte et l'imaginaire. coll. Figura, vol. 23, pp. 31-44).
. 2010. “Attachment | Size |
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