Patrick Nardin parle de ce qu'il nomme «un cinéma dont on aurait démonté l’écran, un cinéma dont l’image serait absente et le film serait absent».
Il aborde un cinéma qui serait de l’ordre de la ré-imagination et de la remémoration. La mémoire dont il est question ne serait pas la mémoire du film comme oeuvre, mais une forme mémoire beaucoup plus diffuse: «la mémoire intérieure qu’on peut avoir du cinéma».
La vidéo de cette communication a été réalisée par Alix Bonnet.