Table ronde. «Nom de code: Cloverfield»
Antonio Dominguez Leiva anime une table ronde avec les participant.e.s afin d'approfondir les thèmes et les réflexions abordés durant la journée «Nom de code: Cloverfield».
Antonio Dominguez Leiva anime une table ronde avec les participant.e.s afin d'approfondir les thèmes et les réflexions abordés durant la journée «Nom de code: Cloverfield».
«La saga [Cloverfield] nous présente trois milieux qui sont différents: Manhattan et ses tunnels; un bunker en Louisiane; une station spatiale, mais ils ont tous en commun d'être sujet à l'isolement.» Dans sa communication, Juliette Fridli s'intéresse à «l'isolement et ce que ses lieux peuvent représenter.»
Pour débuter sa communication, Lorène Trémerel pose l'hypothèse que malgré la «volonté d'éveiller véritablement les consciences, la saga Cloverfield provoque davantage une peur psychologique nous amenant à réfléchir sur notre condition humaine et les désastres que provoque le passage de l'être humain sur Terre.»
Victor-Arthur Piégay propose que la saga Cloverfield est «une trilogie "accidentelle" puisque 10 Cloverfield Lane et The Cloverfield Paradox n'ont pas été envisagés comme des suites directes du premier film.» Il s'intéresse à l'univers fictionnel que forme malgré tout l'ensemble: le Cloververse.
Sébastien Hubier s'intéresse à l'événement dans la saga Cloverfield, et tout particulièrement dans le premier des trois films.
Dans cet épisode sous forme d'entretien, Antonio Dominguez Leiva discute avec Megan Bédard de son ouvrage «Xénomorphe: Alien ou les mutations d'une franchise», publié aux éditions Ta mère en 2020. Ils abordent la franchise «Alien» en général, qu'il s'agisse des films, des bandes dessinées, des jeux vidéo ou des romans, mais aussi la façon dont se construisent aujourd'hui les univers transmédiatiques dans la culture populaire.
Dans ce deuxième épisode, David Bélanger, Jean-François Chassay, Claudia Bouliane, Elaine Després, Sébastien Roldan, Judith Sribnai, Pierre Popovic et Geneviève Sicotte interrogent la figure du masque dans le contexte de la pandémie actuelle, sous ses coutures littéraires, culturelles et cinématographiques.
L’anglais dispose de trois termes –disease, illness, sickness– pour désigner trois formes différentes du rapport à la maladie alors que le français ne fait pas cette distinction.
«La science-fiction ne connaît pas l'avenir. La science-fiction ne prétend pas prédir l'avenir, elle n'a que des prétentions littéraires ou cinématographiques. Dans une perspective sociocritique, cela signifie qu'elle fait partie prenante d'un imaginaire social spécifique ancré dans le présent et que sa façon de représenter l'avenir en est un élément central. Fredric Jameson explique que toutes les utopies futuristes tentent de régler un dilemme spécifique, un problème social fondamental qui apparaît comme la source de tous les problèmes du présent.