Africa

Dans le cadre de la série de conférences sur littérature contemporaine, Salon Double, Kasereka Kavwahirehi a prononcé, le 19 mars 2012, une conférence ayant pour titre «Le roman contemporain comme signe de l'histoire et résistance à l'h(H)istoire ou Comment le roman francophone ruse avec l



L’Afrique en circulation: figures, discours, pratiques

Animée par le poète Rodney Saint-Éloi, cette table ronde réunit Sarah Davies Cordova, traductrice du livre Mère à mère de Sindiwe Magona, Alain Serge Agnessan, chercheur et poète, Dan O'Meara, politicologue et militant anti-Apartheid, Isaac Bazié, professeur au département d'études littéraires de l'Université du Québec à Montréal, et Janny Montinat, étudiante, autour du thème de la circulation.

Extraits lus de «No more lullabies», de «Chère Ijeawele, ou un manifeste pour une éducation féministe», de «Oui mon commandant!» et de «Peau noire, masques blancs»

Afin de marquer le début de la journée d'étude «Apartheid, 25 ans après. Débats, témoignages, lectures, réflexions», Laura Doyle Péan lit un extrait de No more lullabies du poète Mafika Pascal Gwala, Florence Blain Mbaye un extrait de Chère Ijeawele, ou un manifeste pour une éducation féministe de Chimamanda Ngozi Adichie et, finalement, Elvira Kamara-Nangnigui nous offre deux extraits: ceux de Amadou Hampâté Bâ, Oui mon commandant!, et de Frantz Fanon, Peau noire, masques blancs.

Afro-sadisme, révolution sociologique dans «Aline et Valcour» de Sade

«Je fais l’hypothèse d’une instrumentalisation de la caricature de la barbarie africaine à des fins critiques et réflexives d’intérêt national. Cette négociation narrative consisterait en une réarticulation du principe de “révolution sociologique”. Celle-ci se manifesterait en tant qu’évaluation du contexte social européen, jugé à l’aune des caractéristiques de son altérité, imminemment représentée par l’Afrique dans le texte sadien.

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