Féminisme et (auto)traduction, fragments d'un parcours
En racontant trois histoires liées à des projets de traduction structurants, Lori Saint-Martin nous offre des images et des fragments de son parcours de traductrice et de féministe.
En racontant trois histoires liées à des projets de traduction structurants, Lori Saint-Martin nous offre des images et des fragments de son parcours de traductrice et de féministe.
En faisant le saut de l'intellectualisme passif à l'action traductologique révolutionnaire, Ches nous amène à décoloniser doxa et application pratique du traduire en démontrant combien résulte inévitable et préremptoire l'anti-oppression comme intersectionalité charnière du traduire et de sa fonction éthique et féministe.
Bertrand Laverdure propose une réflexion sur l'influence de la Grande maladie dans la poésie d'André Roy.
Gérald Gaudet s’intéresse à la place du désir et de la mélancolique, tous deux intrinsèquement liés, dans l’oeuvre d’André Roy. Sa communication est lue par Alex Noël.
Antoine Forcione propose une lecture fractale de la suite poétique Le sentiment du lieu (Les Herbes rouges, 1978).
Pierre Samson livre un hommage à son ami, le poète André Roy.
Élise Turcotte lit Intelligence et corps à corps de mélancolies, un hommage à André Roy écrit par Nicole Brossard.
Nicholas Dawson livre un vibrant hommage au poète André Roy.
Kevin Lambert s'intéresse à l'absence quasi-totale de la famille dans l'oeuvre d'André Roy.
Arilys Jia s'intéresse aux correspondances anatomiques dans la somme poétique Action Writing (1985). Elle part du constat que le corps, démultiplié dans le recueil, fait corps avec le texte, c'est-à-dire que le corps s'y déploie au même rythme que la pensée qu'il incarne, soit une pensée qui déconstruit le réel afin de le donner à voir.