RADICAL

Symposium

Université du Québec à Montréal

L'image en lumière: histoire, usages et enjeux de la projection. The Enlightened Image: History and Uses of Projection.

Organization:
Lalonde, Joanne
Lavoie, Vincent
Wicky, Érika
Programme de recherche RADICAL
Dans le cadre du groupe de recherche RADICAL (Repères pour une articulation des dimensions culturelles, artistiques et littéraires de l'imaginaire contemporain), Vincent Lavoie, Érika Wicky et Joanne Lalonde ont organisé un colloque bilingue intitulé «L'image en lumière: histoire, usages et enjeux de la projection. The Enlightened Image: History and Uses of Projection».
Conference

Université du Québec à Montréal

Sommes-nous maintenant?/Is it now? Réflexions sur le contemporain et la culture de l'écran

Gervais, Bertrand
«Is it now? La question surgit dans "Minority Report", le film de 2002 de Steven Spielberg, adapté de la nouvelle de Philip K. Dick. Sommes-nous maintenant? L’interrogation résonne de manière nouvelle à notre époque, marquée par le présentisme et cette soif de réalité qui l’alimente.»
Symposium

Université du Québec à Montréal

Le concept d'imaginaire social. Nouvelles avenues et nouveaux défis

Organization:
Gagnon, Alex
Santini, Sylvano
Se situant au point de rencontre entre théories de l’histoire et de la société et théories du langage et des représentations, la notion d'«imaginaire social» appelle, sur le plan théorique, un dialogue interdisciplinaire dont ce colloque souhaite être l’occasion.

Fictions de la ligne brisée: Typologie des mises en récit de l’oubli

Par quelles figures parvenons-nous à mettre en récit l’oubli? Sur quoi peuvent se déployer des fictions de l’oubli? Il faut voir d’emblée que raconter l’oubli est paradoxal, parce que le récit est le lieu par excellence de la mémoire. Raconter, c’est conserver, maintenir intact. Le récit est son propre palais de mémoire, puisqu’il organise des lieux ainsi que des espaces et il met en scène des personnages, des destinées. Dans ce contexte, les fictions de l’oubli sont des récits dont la reconstruction est malaisée, des narrations qui s’ouvrent sur des ruines qu’elles tentent de comprendre et d’interpréter afin d’en faire apparaître la part de vérité. Je tenterai ici d’en proposer une typologie, par le biais d’une série de motifs.

L'idiot de la banlieue. «Bienvenue au conseil d'administration» de Serge Cardinal

La banlieue rend-elle idiot? A-t-on droit, avec l'idiot de la banlieue, à une simple inclusion, à un fait anecdotique, accidentel - il y a un idiot et il se trouve qu'il est dans une banlieue -, ou à une relation nécessaire, une conséquence formelle, la banlieue faisant de ses habitants des idiots? Que faut-il entendre par idiot de toute façon? En d'où vient cette idée de le lier à la banlieue?

Le non-lieu de la fiction: «Récit d'un avocat» d'Antoine Brea

Récit d’un avocat est le cinquième livre d’Antoine Brea publié au Quartanier. Je vais en parler, pour l’instant, comme d’un texte, parce que la question même de son appartenance générique est problématique. Le texte relate à la première personne l’intervention tardive d’un narrateur juriste dans le cas d’un ressortissant étranger, Kurde de Turquie ayant émigré en France dans les années 1990 et s’étant rendu là coupable d’un crime gravissime.

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