Cahiers Figura

Le voir tensif comme mode de l’imaginaire. Étude du rapport au lumineux dans la création de la pièce de théâtre L’ombre incongrue de F.

Numéro de la publication:
23
Année de parution:
2010

L'outillage théorique relatif, de près ou de loin, à ce que l’on appelle la «sémiotique des passions» constitue certainement une ouverture intéressante vers une reconfiguration du rapport de l’analyste ou du producteur au théâtre. Alors que François Rastier prétend que celle-ci «semble [...] résulter d’une involution spéculative», je considère plutôt cette prise en compte du sujet regardant de bon augure. Principalement depuis les travaux de Merleau-Ponty, c’est l’intégration du corps comme interface d’être-au-monde dans le procès de la signification qui donne, d’une part, la possibilité à la critique théâtrale d’affiner sa sensibilité analytique et, d’autre part, aux créateurs d’avoir accès à un appareillage précis de compréhension du sensible.

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Pour citer ce document:
Roy, Sébastien. 2010. « Le voir tensif comme mode de l'imaginaire. Étude du rapport lumineux de la création de la pièce de théâtre "L'ombre incongrue de F." ». Dans Textures lumineurses. Éblouissements, ombres et obscurités. Article d’un cahier Figura. En ligne sur le site de l’Observatoire de l’imaginaire contemporain. <https://oic.uqam.ca/fr/articles/le-voir-tensif-comme-mode-de-limaginaire-etude-du-rapport-au-lumineux-dans-la-creation-de>. Consulté le 1 mai 2023. D’abord paru dans (Huffman, Shawn (dir.). 2010. Montréal : Figura, Centre de recherche sur le texte et l'imaginaire. coll. Figura, vol. 23, p. 45-66).
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