Présentation de la journée d'étude
Programme de la séance
De la dépossessionAfin de clore cette journée d'étude, Yara El-Ghadban, Sindiwe Magona et Rodney Saint-Éloi discutent autour de leur expérience et du thème de la dépossession. |
Extraits lus de «Les chansons de l'Afrique», de «Nous les gueux» et de «Le lanceur de dés»Tasneem Elzein lit un extrait du poème Les chansons de l'Afrique de Muhammad al-Fayturi, Lorrie Jean-Louis lit le poème Nous les gueux de Léon Gontran Damas et, finalement, Alain Serge Agnessan lit Le lanceur de dés de Mahmoud Darwich |
«Let me tell you something, Apartheid is alive and well»: carte blanche offerte à l'autrice sud-africaine, Sindiwe Magona, suivie d’une lecture bilingue de «Mother to mother» («Mère à mère»)Invitée d'honneur de la présente journée d'étude, l'autrice sud-africaine Sindiwe Magona profite de la carte blanche qui lui a été offerte afin de livrer un vibrant témoignage sur la situation de l'Afrique du Sud d'hier à aujourd'hui. Sa prise de parole est suivie d'une lecture bilingue d'un extrait de son roman Mother to mother (Mère à mère), aux côtés de la traductrice Sarah Davies Cordova. |
«Mère à Mère». Traduire l’ApartheidLa traductrice du roman Mère à mère de l'autrice sud-africaine Sindiwe Magona, Sarah Davies Cordova, partage son expérience et sa lecture du texte. |
Littérature d’Afrique du Sud et reconnaissance mondiale: l’Apartheid comme levierDans une forme très ouverte et brève, et à travers deux expériences personnelles marquantes en lien avec la littérature, Isaac Bazié pose la question suivante: «que peut la littéraire?». |
L’Afrique en circulation: figures, discours, pratiquesAnimée par le poète Rodney Saint-Éloi, cette table ronde réunit Sarah Davies Cordova, traductrice du livre Mère à mère de Sindiwe Magona, Alain Serge Agnessan, chercheur et poète, Dan O'Meara, politicologue et militant anti-Apartheid, Isaac Bazié, professeur au département d'études littéraires de l'Université du Québec à Montréal, et Janny Montinat, étudiante, autour du thème de la circulation. |
La xénophobie en Afrique du Sud: un problème endémiqueDans un premier temps, la participante «compare la situation de la xénophobie en Afrique du Sud à la tendance mondiale». Elle démontre ensuite «les effets de l'Apartheid dans l'instrumentalisation de la haine contre l'autre». Finalement, elle «fait un retour sur la gestion politique et juridique des étrangers par l'État sud-africain». |
La révolution burkinabè et la lutte contre l’Apartheid: l’hommage de Thomas Sankara à Nelson MandelaÀ travers la relation de deux hommes politiques importants, Thomas Sankara et Nelson Mandela, le participant aborde «ce que le Burkina Faso a apporté à la lutte contre l'Apartheid». |
De la nation rêvée par Mandela à la situation actuelle: carte blanche offerte au politologue et militant anti-Apartheid, Dan O'MearaLe politologue et militant anti-Apartheid, Dan O'Meara, pose un regard critique sur la période de transition qui débute le 2 février 1990, jour de l'annonce de la libération de Nelson Mandela et de la légalisation du Congrès national africain (ANC) par le président Frederik De Klerk, et se termine en mai 1994 par la prise du pouvoir par l'ANC. Il nous partage ses pistes de réflexions afin de comprendre les raisons qui expliquent la situation actuelle de l'Afrique du Sud. |
Extraits lus de «No more lullabies», de «Chère Ijeawele, ou un manifeste pour une éducation féministe», de «Oui mon commandant!» et de «Peau noire, masques blancs»Afin de marquer le début de la journée d'étude «Apartheid, 25 ans après. Débats, témoignages, lectures, réflexions», Laura Doyle Péan lit un extrait de No more lullabies du poète Mafika Pascal Gwala, Florence Blain Mbaye un extrait de Chère Ijeawele, ou un manifeste pour une éducation féministe de Chimamanda Ngozi Adichie et, finalement, Elvira Kamara-Nangnigui nous offre deux extraits: ceux de Amadou Hampâté Bâ, Oui mon commandant!, et de Frantz Fanon, Peau noire, masques blancs. |