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On convient normalement que le domaine du visible est celui de la certitude, du tangible. L’objet qui est vu existe à coup sûr, et l’idée de douter de sa présence ou de sa nature, sauf en de rares exceptions comme les mirages ou les fantômes, ne se présente pas à l’esprit de celui qui voit.
Pour citer ce document (Computed):
<span class="biblio-authors" >Allard, Geneviève</span>. 2010. « <span class="biblio-title" >«Vie secrète» de Pascal Quignard. L'obscurité qui révèle ou «Ne rien comprendre à rien est un organe fabuleux!»</span> ». Dans <span style="font-style: italic;">Textures lumineurses. Éblouissements, ombres et obscurités</span>. Article d’un cahier Figura. En ligne sur le site de l’Observatoire de l’imaginaire contemporain. <https://oic.uqam.ca/fr/articles/vie-secrete-de-pascal-quignard-lobscurite-qui-revele-ou-ne-rien-comprendre-a-rien-est-un>. D’abord paru dans (<span class="biblio-authors" >Huffman, Shawn</span> (dir.). 2010. Montréal : Figura, Centre de recherche sur le texte et l'imaginaire. coll. Figura, vol. 23, p. 149-162).<span class="Z3988" title="ctx_ver=Z39.88-2004&rft_val_fmt=info%3Aofi%2Ffmt%3Akev%3Amtx%3Adc&rft.title=%C2%ABVie+secr%C3%A8te%C2%BB+de+Pascal+Quignard.+L%26%23039%3Bobscurit%C3%A9+qui+r%C3%A9v%C3%A8le+ou+%C2%ABNe+rien+comprendre+%C3%A0+rien+est+un+organe+fabuleux%21%C2%BB&rft.date=2010&rft.volume=23&rft.spage=149&rft.epage=162&rft.aulast=Allard&rft.aufirst=Genevi%C3%A8ve&rft.pub=Figura%2C+Centre+de+recherche+sur+le+texte+et+l%26%23039%3Bimaginaire&rft.place=Montr%C3%A9al"></span>