vulgarité

Injures homophobes: ordre et désordre hétéronormatifs

Les femmes comme les hommes dont la sexualité ou l’expression du genre ne se conforment pas au modèle hétéronormatif sont rappelées à l’ordre. Les femmes sont insultées parce qu’elles ne se cantonnent pas à leur rôle de femme. Les hommes sont insultés parce qu’ils ne renvoient pas l’image de la virilité. La simple interpellation d’un homme par une expression le comparant à une femme est censée l’injurier. Les injures gayphobes, omniprésentes dans les cours de récréation, classifient et hiérarchisent les attributs masculins et féminins, participant ainsi, en stigmatisant l'homosexualité masculine, à inférioriser les femmes. C’est dire si l’étude des injures homophobes est inextricablement liée aux enjeux du féminisme.
Cahiers de l'IREF

Université du Québec à Montréal

Féminismes et luttes contre l'homophobie: de l'apprentissage à la subversion des codes

Directeur·trice(s):
Chamberland, Line
Désy, Caroline
Saint-Martin, Lori
N° de la publication:
7
2016
En 1903, à Berlin, Anna Rueling appelait le mouvement homosexuel et le mouvement des femmes à s’entraider puisque tous deux luttaient pour la liberté et l’autodétermination individuelle.

Du sourire aux poils faciaux de la Joconde

Le sourire de la Joconde a donné beaucoup à penser et à écrire. Réalisée entre 1503 et 1506 par Léonard de Vinci et, question qui a fait couler beaucoup d'encre et parfois de peinture, on s'est demandé pourquoi elle souriait. Laissant de côté les yeux, je me concentrerai sur le sourire. On s'est demandé pourquoi elle souriait, ce que laissait entrevoir ce mouvement particulier des lèvres, si c'était un sourire aux anges, si elle souriait sous cape ou dans sa barbe.

Tits or GTFO: exemples d'interactions pornographiques sur les imageboards

Il y a environ 15 ans, l'influence des médias était à sens unique. Le web était à la remorque des médias traditionnels, un peu comme le cinéma, il n'y a pas si longtemps, influençait le contenu de la télévision, alors que celle-ci n'avait aucun impact sur le 7e art. C'était une autre époque. De là à dire que, de nos jours, on ne sait plus trop qui, des médias traditionnels ou des médias 2.0, ont le plus d'influence sur les autres, il n'y a qu'un pas… que je franchis ici allègrement.

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