«Ça m’vomit sans voix sans organes bien décomposé»: l’écriture «machinée» par le désir d’André Roy
Étienne Bergeron revisite la poétique des premiers recueils d'André Roy à la lumière des travaux de Barthes, de Deleuze et Guattari, mais aussi de ceux plus récents d'Évelyne Grossman, laquelle se réclame de la pensée de ces philosophes.