post-apocalypse

La littérature aux prises avec le réel: imaginaires de l’hybride selon Christian Garcin et Antoine Volodine

C'est en considérant l'activité littéraire comme mise en forme textuelle du processus d'imagination que j'aimerais parler de deux romans français contemporains qui, en utilisant les ressources du surnaturel, construisent un univers fictionnel qui joue sur la mise en scène du réel et de l'irréel. J'utilise ici le terme de réel dans sa définition comme élément hors du texte, qui précède le texte, et non pas comme élément fictionnel de nature réaliste.

Le post-humain dans un monde post-apocalyptique: questionnements antagonistes au prisme du roman «Le Goût de l’Immortalité» de Catherine Dufour

Cette présentation consiste en l'analyse du roman de science-fiction Le Goût de l'Immortalité écrit en 2005 par l'écrivaine Catherine Dufour. Dans ce roman, Dufour se pose des questions importantes sur le posthumanisme, le rôle de l'environnement et les démarcations entre l'organique et l'artificiel. Ce roman a été choisi comme un cas d'étude d'une performance littéraire de la vision posthumaniste, mais aussi comme un livre qui explore l'interrelation entre l'humain et la nature.

Le mouvement des fluides. «La Machine d'eau de Manhattan», de E. L. Doctorow

Il y a de ces fins qui ne veulent pas finir, qui se croient éternelles, qui vont à l’encontre de leur nature. S’agit-il encore d’une fin quand elle dépasse ses limites? Quand elle refuse de se conformer à sa propre définition? Comment expliquer une fin qui n’en est pas une? Une fin qui s’annule, en quelque sorte?
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