OBSERVATOIRE DE L'IMAGINAIRE CONTEMPORAIN
géopoétique
Lecture et imaginaire au prisme de la géopoétique
L'imaginaire du lecteur est lié à un ancrage géographique, à une manière singulière de se situer dans le monde pour établir des liens entre les lieux et les cultures.
Déambuler rue Ontario. Raboudinage d'une artère montréalaise
Bestiaire hochelagais
«Aller à la rencontre d'un quartier. Essayer d'y être clandestine. De poser sur lui un regard à la fois panoptique et intime. Marcher. Passer. Traverser en s'efforçant de ne pas laisser de traces. De ne pas en altérer l'image.»
Le monde est Sharp
«Le monde est sharp à Hochelaga, il est vraiment sharp.
Au détour des lieux [communs]: croiser Hochelaga
«Croiser Hochelaga. Il y a au moins 1 171 355 personnes qui te traversent, oh! Parc Préfontaine, pour entrer dans tes profondeurs, dans la bouche chaude de ta station et de ton édicule futuriste d'un autre temps. Si certains t'empruntent pour te quitter, d'autres te roulent dessus.»
Hochelaga «desiderata»
«Le vrai est un moment du faux. Je me serai, beaucop plus que je ne le pensais, heurtée à cette question de la vérité à Hochelaga. Heurtée à cette peur de manquer potentiellement de respect à ce que j'ai vu, découvert.»
Vouz'aut faites carte: lignes de fuite hochelagaises
«Je n'habite Hochelaga que depuis le mois d'août. Au fil des premières déambulations, je me suis aperçu que les photos et les notes que je prenais faisaient appel à une sensibilité tributaire de mes souvenirs, de mes territoires, ailleurs.»
Mille regrets
«Je vais vous lire 16 poèmes. Mille regrets, c'est le nom du recueil sur lequel je travaille.»
Dans ce quartier il y a un fleuve
«Hochelaga de béton concret, concrétude, concréattitude.»