informatique

Conférence

Université du Québec à Montréal

re: génération

Carpenter, J.R.
Une histoire de la génération textuelle aléatoire, du Moyen âge aux oeuvres hypermédiatiques de J.R. Carpenter, en passant par Alan Turing et Christopher Strachey.

Anamorphoses de la fiction contemporaine: l'écriture littéraire des données numériques

«Quand on parle de littérature numérique, on entend souvent les notions de métamorphose, de transformation ou de révolution qui sont évoquées pour parler des pratiques numériques.

Ces termes me paraissent souvent un peu dangereux, car ils nous amènent ou nous conduisent vers deux directions où on s’égare assez facilement. Première direction: la position apocalyptique où on entend parler de la fin du livre ou de la fin de l’auteur. 

La base de données de Manovich: syntagme et paradigme

Dans cette communication, Ariane Savoie résume un élément important de sa recherche autour de ce que Lev Manovich a soulevé comme réflexion dès 1998 dans Database as a Symbolic Form. Cette très brève description faite de ce petit corpus met en évidence non pas la nature médiatique des oeuvres, mais bien les similarités qui les lient dans l’exploration des formes narratives qu’elles ont pu générer à partir d’une base de données. 

Montrer les calculs

Le sujet qui m'intéresse est principalement le fait qu'aujourd'hui, la plupart de nos navigations numériques sont confiées à des calculateurs. Nos navigations se réduisent à une portion absolument infime du Web en raison des artéfacts techniques et notamment calculatoires qui nous ont guidés vers tel ou tel contenu.

Matière textuelle écranique et Wunderblock

«J’aimerais parler de deux axes intéressants de ma recherche:

D’une part, une approche de l’apparence du texte en milieu numérique et cranique et qui a à voir avec la figure et l’appareil du wunderblock tel qu’il a été pensé et utilisé métaphoriquement par Freud et revisité par Derrida.

Un autre axe qui serait sur une utilisation des possibilités technologiques pour du texte.»

Lecteurs, imaginaire et pratique culturelles. Altérité et cyberculture

Ma réflexion sur la formation de l’imaginaire des lecteurs s’inscrit dans le cadre général de l’enseignement de la littérature et de l’accès des lecteurs non experts (élèves ou étudiants) aux œuvres littéraires, de l’Antiquité à l’extrême contemporain. Dans cette perspective, j’analyserai les vecteurs possibles et les supports anciens, récents ou renouvelés, de l’imaginaire du lecteur.
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