criminologie

Le corps féminin et l’espace carcéral

«La prison et l’enfermement, ou l’enfermement de manière générale, occupent une place assez importante et diversifiée dans la littérature. On n'a qu’à penser à des fictions autour de la prison, des témoignages du dedans ou du dehors, des écrits de prisonniers et des écrits sur la prison. 

Mais les années 40 ont marqué une rupture de l’image romantique de la prison avec Jean Genet et L’étranger de Camus.

J’avais envie d’effectuer une relecture de mon roman, Écorchées, dans ce sens.»

La preuve corporelle

Les meurtres, crimes, tueries, assassinats de masse et en masse nous ont livré et continuent de livrer des millions de corps au regard comme preuve des faits commis. Pour donner un corps à regarder, il faut l’avoir: «que tu aies le corps» — ce qui est le sens de l'Habeas Corpus Act. À l’opposé, les négationnistes comprennent l’absence concrète des corps comme la preuve que tel fait n’a pas eu lieu, que le crime ou le génocide n’a pas été accompli.

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