Cloverfield. L'événement, est-ce possible?
Sébastien Hubier s'intéresse à l'événement dans la saga Cloverfield, et tout particulièrement dans le premier des trois films.
Sébastien Hubier s'intéresse à l'événement dans la saga Cloverfield, et tout particulièrement dans le premier des trois films.
Dans cet épisode sous forme d'entretien, Antonio Dominguez Leiva discute avec Megan Bédard de son ouvrage «Xénomorphe: Alien ou les mutations d'une franchise», publié aux éditions Ta mère en 2020. Ils abordent la franchise «Alien» en général, qu'il s'agisse des films, des bandes dessinées, des jeux vidéo ou des romans, mais aussi la façon dont se construisent aujourd'hui les univers transmédiatiques dans la culture populaire.
Dans ce deuxième épisode, David Bélanger, Jean-François Chassay, Claudia Bouliane, Elaine Després, Sébastien Roldan, Judith Sribnai, Pierre Popovic et Geneviève Sicotte interrogent la figure du masque dans le contexte de la pandémie actuelle, sous ses coutures littéraires, culturelles et cinématographiques.
Dans la série Doctor Who, le Docteur entretient une relation avec une autre voyageuse spatiotemporelle: River Song. Or, le passé de cette dernière constituant le futur du premier, le Docteur ne peut avoir accès aux informations à venir puisque celles-ci influenceront ses choix (et peuvent, accessoirement, causer des paradoxes temporels). Spoilers! lui dit-elle, alors.
«On attribue la phrase de mon titre à Victor Hugo, malgré qu'aucune preuve ne subsiste qu'il ait bel et bien affirmé ceci.
Néanmoins, je trouve que cette phrase peut servir pour décrire plusieurs des meilleures idées imaginées par l'humanité: le trio guitare/bass/drum, le baseball professionel et Superman.»
Dans le cadre de sa communication, Sylvain Lavallée explore le croisement entre la figure du cyborg et le concept de la femme inconnue tel que le philosophe Stanley Cavell le définit dans son ouvrage La protestation des larmes.
On a parfois l’impression que le rapport entre la philosophie et la culture populaire va dans une seule direction, une grille de lecture philosophique étant systématiquement appliquée à un contenu de la culture populaire; on le constate notamment dans les collections du type "… and Philosophy", fort prisées dans le monde anglo-saxon. Or, on trouve dans les textes philosophiques eux-mêmes des fictions qui rappellent des motifs de la culture populaire.
Jouissant d’une popularité instantanée dès sa sortie en 2016, la série Stranger Things se pose comme un objet culturel à la fois sériel et unique. D’ailleurs, à sa sortie, un nombre important d’interlocuteurs a tenté de faire l’inventaire des innombrables références intertextuelles enchâssées dans les 8 épisodes de la première saison. Mais au-delà du plaisir référentiel offert par la série, force est de constater que cette dernière s’inscrit dans une logique narrative fondée sur la nostalgie.
En temps normal, les romans –ou films, séries– policiers classiques fonctionnent selon des règles bien établies et connues: ils mettent en scène «des faits peu ordinaires ou extraordinaires qui semblent déraisonnables voire irrationnels, des faits qui par suite mettent en désordre les pensées de quelques personnages, des faits cependant que d’autres personnages –les détectives–, capables d’en rendre raison, ramènent à l’ordre» (Chastaing, 1977, 28).
Il est aisé de remarquer, depuis les dernières années, un intérêt renouvelé, particulièrement aux États-Unis, pour le true crime, genre qui présente des récits de longueurs et de structures variées sur différents médiums, mais dont le point commun est de présenter la narration d’affaires criminelles réelles, le plus souvent de meurtres.