atrocité

Mourir comme un chien dans les romans de Paul Auster, Milan Kundera et Jean Rolin

Élisabeth de Fontenay écrit: «C’est à l’horizon de nos pensées et de nos langues que se tient l’animal, saturé de signes. C’est à la limite de nos représentations qu’il vit et se meut, s’enfuit et nous regarde.» C’est cette saturation de signes qu’Aglaé Boivin essaie de déployer en analysant la fonction de la mort canine dans le texte chez Paul Auster, Milan Kundera et Jean Rolin.

Le «Verfügbar aux enfers». Notes de lecture sur une «opérette» à Ravensbrück

Les laboratoires de l’horreur de la mort industrielle que furent les camps de concentration ont paradoxalement été aussi des lieux de création. Création dans des conditions extrêmes, presque toutes clandestines et, souvent, le fait de simples amateurs pour qui elle constituait une ultime planche de liberté ou de résistance.

S'abonner à RSS - atrocité