Public Artwork
Poubelles du Quartier Latin et du Village
On St. Denis Street, between Sherbrooke and Sanguinet Streets; on St. Catherine Street between Berri and Cartier Streets; at Miville-Couture Park, at the corner of Amherst Street and de Maisonneuve Boulevard.
Green and orange posters (in the Quartier Latin et the Village, respectively) were installed on both sides of public garbage bins. The posters were installed at random.
Quartier Latin:
« Je refuse
de n’être
qu’un
récipient vide ! »
Eugène Poubelle
1831-1907
« De toutes
mes œuvres,
tu es la
poubelle
du monde. »
Eugène Poubelle
1831-1907
« Plus
vous me
nourrissez,
mieux vous
respirez. »
Eugène Poubelle
1831-1907
« La poubelle,
l’éboueur et
le citoyen :
c’est un
ménage à trois. »
Eugène Poubelle
1831-1907
« Je déborde
de bonnes
intentions…
et de trucs
inutiles. »
Eugène Poubelle
1831-1907
« Le
contenant
est
content
débordant. »
Eugène Poubelle
1831-1907
« L’histoire
d’un déchet et
d’un récipient :
ils vécurent une vidange. »
Eugène Poubelle
1831-1907
« Je l’ai
inventée en
1884 : vous
la réinventez
tous les jours ! »
Eugène Poubelle
1831-1907
Village
« J’aime mieux
bourrer la
poubelle
que rentrer
bourré. »
« Est-ce qu’on
dit remplir
jusqu’au bord
ou remplir
à ras bord ? »
« Ô ma
poubelle !
Devant ton
orifice,
je communique. »
« Quand
je suis vide,
je suis triste. »
« Ramasser
l’eau de
pluie n’est
pas mon
fort. »
« Ce que vous
me donnez
demeurera dans
les annales du
Village. »
« Donnez
généreusement :
je pourrais
être un
parcomètre ! »
« Je ne suis
pas déguisée :
je suis
une vraie
poubelle. »
« Je suis
une
gourmande :
je prends
tout ! »
« Je mange,
j’avale tout :
nourrissez-
moi ! »
« J’ai un
creux :
z’auriez pas
un petit
quelque chose ? »
« Je suis
très
ouverte
d’esprit… »
« Sus-
tentez-
moi.
Je suis
à vide… »
« Regarde
comme
je suis
belle. »
« L’appétit
vient en
mangeant. »
« Je suis
peut-être
poubelle,
mais je sers
à de quoi. »
«Je déborde
de bonnes
intentions…
et de trucs
inutiles. »
Although the quotes on the Quartier Latin garbage bins are attributed to Eugène Poubelle, they are not real quotes. They are fictional and were written by the artist, Maryo Thomas. As he says, the lines are a "travesty of poetry."