Entrevue radio

Size Matters: la résistible ascension du Dinosaur Porn

Dans les dernières semaines, une série d'ouvrages ont beaucoup fait parler d'eux sur les réseaux sociaux. Ce sont des récits érotiques avec des titres tels que Taken by the T-rex, Ravished by the Triceratops ou Taken by the Pterodactyl, écrits sous deux pseudonymes féminins, Alara Branwen et Christie Sims. Même si les titres peuvent sembler de simples métaphores, les descriptifs des oeuvres ne laisse aucune place au doute: il s'agit bel et bien de littérature pornographique mettant en vedette des dinosaures.

Oz vs Night Breed

Cette semaine au 7e Antiquaire, on commence à célébrer Halloween avec une analyse comparative, un VERSUS entre...WIZARD OF OZ et NIGHTBREED . Plus encore, on vous montre pourquoi et comment le film de Clive Barker est une extension délibérée, un hommage crépusculaire à la célèbre comédie musicale.

Écho et reprise dans les séries télévisées (I): Reprise et intermédialité

Ce numéro de TV/Series constitue le premier d’une série de trois volumes qui s’attacheront à explorer les diverses facettes de l’écho et de la reprise dans les séries télévisées. Répétition, récurrence, remaniement, remédiation sont au cœur des séries et constituent ce qui les distingue d’autres genres audiovisuels ou narratifs –leur sérialité même. Ce premier numéro aborde la question de l’«intermédialité» (au sens large de mise en relation d’au moins deux media différents dans un contexte créatif qui les fait interagir l’un sur l’autre), et plus précisément la question de la reprise «intermédia» ou «intermédiale», c’est-à-dire la façon dont les séries s’approprient des modes d’expression différents du medium télévisuel.

Les super-héros et leurs doubles

Nous saluons le lancement du blogue dévolu aux super-héros par un de nos collaborateurs, Camille Baurin. Profitant de toute la zone laissée libre dans l'univers numérique, ce blogue se propose de s’intéresser non pas aux super-héros originels, mais à leurs reflets, à leurs doubles, à leurs réécritures, à leurs ré-adaptations...

King Kong, apothéose de l'Amour Fou

King Kong (1933) est sans conteste l'un des films phares de l'histoire du cinéma. Le statut archétypal de la créature ouvre à toutes les interprétations: on a voulu y voir tour à tour une figure de la Grande Dépression, du capitalisme, du Tiers Monde, de l'esclavage, du colonialisme, de la nature exploitée, voire du Christ lui-même, mort pour nos péchés. Mais peut-être reste-t-il avant tout, comme l'avaient proclamé les surréalistes dès sa sortie, l'apothéose de l'Amour Fou.

Le fétichisme de l'Homme de Fer

Tony Stark est de retour dans Iron Man 3, dont la sortie marque le 50e anniversaire du personnage conçu par Stan Lee en 1963. Antihéros, figure du «capitalisme quintessenciel» (dont la fortune est basée sur le commerce amoral des armes), il est, comme Gatsby et tant d'autres, un être fêlé. Déchiré entre les superpouvoirs de son corps-armure et sa personnalité romantique d'être blessé, il est un emblème du complexe militaro-industriel que dénonçait Eisenhower en 1961.

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