Quelles histoires peut-on raconter aujourd’hui aux gens qui ont déjà entendu cent fois ces mêmes histoires? Inversement, pourquoi voulons-nous collectivement réécouter, en boucle, ces histoires? Consciente d’elle-même d’amont en aval, la culture populaire est aujourd’hui entrée dans une phase néobaroque (Calabrese : 1987) vouée au jeu de la réflexivité, de la réitération et de la reprise.
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Dans le cadre de l’esthétique contemporaine du cadavre, peu de phénomènes ont semblé plus marquants, depuis Night of the Living Dead (G. A. Romero, 1968) que la surenchère transmédiatique et véritablement planétaire des morts-vivants. Si les années 90 ont été caractérisées par une sorte de «mort», ou à tout le moins de «stase», du zombie au cinéma, la créature, fidèle à elle-même, est réapparue de plus belle au tournant du nouveau millénaire et a maintenant envahi divers recoins de notre iconosphère globale.
Retrouvez-nous dans l'émission Plus on est de fous, plus on lit consacrée à la saga culte de George R. R. Martin.
Le colloque Désirs et délices, qui se tiendra à l'Université de Bourgogne les 13 et 14 décembre 2012, fait suite aux deux colloques organisés à Dijon, en 2004 et 2006, dont les Actes sont parus aux éditions du Murmure, respectivement en 2005 et 2008, sous les titres: Le Supplice oriental dans les arts et la littérature (dir. par Muriel Détrié et Antonio Dominguez Leiva), et Délicieux supplices: érotisme et cruauté en Occident (dir. par Sébastien Hubier et Antonio Dominguez Leiva).
Les Implications philosophiques lancent la deuxième saison de «l’été des séries».
L’oeuvre de Tolkien (1892-1973), située au carrefour de questions littéraires, génériques, critiques et théoriques, permet de croiser des interrogations qui possèdent une valeur exemplaire, en particulier à l’égard des relations entre la littérature et les imaginaires. Cette oeuvre permet aussi de questionner les rapports qui se sont tissés avec ses premiers lecteurs du groupe des Inklings et la critique.
Les productions de la culture médiatique et les fictions imprimées de grande consommation reposent sur des principes de communication qui mettent en jeu des logiques sérielles. Ce qui les caractérise est une tendance à appréhender l’œuvre à travers la médiation d’un ensemble plus vaste à partir duquel elle se conçoit. C’est bien un tel mécanisme que l’on peut repérer dans la décision d’écrire ou de lire une œuvre de genre (récit policier, d’aventures, de science fiction, etc.). C’est également dans cette perspective que se situent les auteurs qui choisissent d’écrire pour une collection éditoriale dominée par des contraintes fortes (genres, valeurs, formats, public, etc.).
Art Cover des années héroïques, Roberto Succo, la Guerre des Mondes et polytextes...
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Dans le contexte des luttes actuelles il est intéressant de se pencher sur l'oeuvre d'un des penseurs les plus actifs dans la dénonciation de l'offensive néolibérale contre l'éducation supérieure, Henry A. Giroux.
Montréal, le 06 avril 2012. Le Show lapin a eu lieu au laboratoire de recherche NT2, le jeudi 5 avril. Plus de 40 personnes étaient présentent à l’UQAM et plus de 60 ont suivi la retransmission en ligne sur le site de l’Observatoire de l’Imaginaire Contemporain ainsi que sur Twitter. Pour terminer la journée des lapins, les membres du Rabbit Crew ont créé la surprise en se joignant au Show lapin.
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