Remerciements
Ce qui se trouve à présent ici, publié grâce au prix Mnémosyne, est le résultat de longs mois d’incubation, de recherches, de rencontres, de voyages et – finalement – d’écriture. À travers tout cela, de grandes joies et de petites misères. Nombreux sont les gens qui m’entourent ayant nourri les premières et soulagé les dernières, à qui je dois beaucoup et que je ne remercierai jamais assez.
Merci, donc…
À toute l’équipe du Mnémosyne (Bertrand Gervais, Alice van der Klei, Bronja Hildgen, Virginie Harvey, Geneviève Has, Emmanuelle Leduc, Grégory Fabre, Robin Varenas, Frédéric Beaudet) qui, avec professionnalisme, écoute et patience, m’a fait l’honneur de cette publication, en plus de surpasser mes rêves les plus fous.
À Sylvain Sicotte, celui qui me donne tout ce que le haïku ne dit pas.
À Sylvain David, celui qui dirigea le mémoire à l’origine de l’essai avec tant de confiance, de respect, de générosités (intellectuelle et autres), et à qui je dois de belles trouvailles (un bon titre, de bons scotchs, une montagne sous la pluie et j’en passe).
À ma maman (Lorraine Descent), pour le premier souffle et celui de la liberté.
Aux ami.es qui ont tenté de me dévier du droit chemin (le travail), mais que j’ai suivi volontiers parce qu’il y aura toujours cela de plus important que le reste (non pas l’alcool, mais l’amitié)… Lister serait risqué, sachez vous reconnaître ici si vous lisez ceci.
À Figura, le Centre de recherche sur le texte et l’imaginaire, (ainsi qu’à ses membres stimulants et inspirants que j’ai eu la chance de rencontrer de près ou de loin) pour le présent prix, mais aussi pour ses nombreux appuis financiers.
À Geneviève Sicotte, qui a grandement contribué à l’épanouissement de mes idées et à mon équilibre.
À Sophie Marcotte et Stéphane Inkel, membres du jury de maîtrise, pour leurs précieux commentaires et ce judicieux conseil (oser la publication).
À tous les beckettiens que je respecte, que j’ai rencontré ou questionné à travers ce travail. Plus particulièrement à Garin Dowd, Nicholas Johnson et Barry McGovern, pour leur temps et leur complicité lors de nos entrevues à Dublin, ainsi qu’à Mark Nixon pour l’accès aux archives de la Beckett International Foundation.
Au Laboratoire NT2, qui a toujours le talent de rendre ma textualité plus technologique – et inversement.
… et à tous les fragments d’humains qui ont croisé mon chemin.