La dépression et la douleur liées au processus d’immigration peuvent mener l’individu jusqu’à «la crispation de sa solitude […] et à la relation avec la mort». Cette détresse place paradoxalement l’immigrant «sur un terrain où la relation avec l’autre devient possible. Relation avec l’autre qui ne sera jamais le fait de saisir une possibilité.» La mort ne peut pas être une possibilité. L’immigration, la dépression, l’appréhension de la mort: ces expériences obligent l’immigrant, l’individu, à réaliser le caractère possible/impossible de la relation à la mort et, par extension, à toute altérité radicale.
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