Au colloque tenu en hommage à Senghor au Maroc en 1990, le président Abdou Diouf concluait son message sur cette déclaration:
«Transformer le monde pour qu'il soit à la mesure de l'homme, à la mesure de ses aspirations et de son bien-être, c'est le rêve de tout homme politique. C'est aussi le rêve de tout poète. Il me semble que l'humanisme senghorien se trouve tout entier dans cette double et noble aspiration qu'aujourd'hui encore l'âge n'a pas entamée.»