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On pourrait penser que la culture hip-hop et la banlieue nord-américaine ne font pas bon ménage. Dans l'imaginaire collectif, le hip-hop est ramené à plusieurs tropes -le rappeur, jeune homme généralement noir, exhibant sa fortune matérielle, qui revendique un mode de vie hédoniste et ne répudie pas les activités criminelles -que l'on associerait mal à la banlieue, caractérisée par un mode de vie paisible, banal, voire ennuyant, le terreau de la famille de classe moyenne.
Pour citer ce document (Computed):
<span class="biblio-authors" >Tremblay-Gaudette, Gabriel</span>. 2015. « <span class="biblio-title" >Les déclinaisons multiples de la banlieue dans le hip-hop québécois</span> ». Dans <span style="font-style: italic;">Suburbia. L'Amérique des banlieues</span>. Article d’un cahier Figura. En ligne sur le site de l’Observatoire de l’imaginaire contemporain. <https://oic.uqam.ca/fr/articles/les-declinaisons-multiples-de-la-banlieue-dans-le-hip-hop-quebecois>. D’abord paru dans (<span class="biblio-authors" >Gervais, Bertrand, Alice van der Klei et Marie Parent</span> (dir.). 2015. Montréal, Université du Québec à Montréal : Figura, le Centre de recherche sur le texte et l'imaginaire. vol. 39, p. 69-84).<span class="Z3988" title="ctx_ver=Z39.88-2004&rft_val_fmt=info%3Aofi%2Ffmt%3Akev%3Amtx%3Adc&rft.title=Les+d%C3%A9clinaisons+multiples+de+la+banlieue+dans+le+hip-hop+qu%C3%A9b%C3%A9cois&rft.date=2015&rft.volume=39&rft.spage=69&rft.epage=84&rft.aulast=Tremblay-Gaudette&rft.aufirst=Gabriel&rft.pub=Figura%2C+le+Centre+de+recherche+sur+le+texte+et+l%26%23039%3Bimaginaire&rft.place=Montr%C3%A9al%2C+Universit%C3%A9+du+Qu%C3%A9bec+%C3%A0+Montr%C3%A9al"></span>