La Black lodge de David Lynch

Vendredi 30 Juillet 2021

Imaginaire et culture pop

Participant·e·s:

Dominguez Leiva, Antonio

Thiellement, Pacôme

Antonio Dominguez Leiva et Pacôme Thiellement s'intéressent à «Twin Peaks», à l'oeuvre de David Lynch en général et plus particulièrement à la place que la Black lodge et la Red Room y jouent. Ils approfondissent la question en explorant ses origines dans la théosophie, la psychanalyse et la culture populaire. Surtout pour les fans avertis de «Twin Peaks» (ou les curieux)!

Ben Rejeb, Amira

L’expérience de l’absence dans «La Vie voyageuse» de Maylis de Kerangal

La Vie voyageuse traduit le désir immense, non pas seulement de changer d’air, de décor, mais de changer de vie: s’absenter de son entourage pour découvrir son propre monde, toutes les dimensions de son existence. L’absence des disparus va révéler à la protagoniste une nouvelle dimension d’être: l’absence comme présence à soi.

Mémoire de l’origine dans «La bête faramineuse» de Pierre Bergounioux

L'écriture de Pierre Bergounioux témoigne d’une obsession: dire d’où vient ce «je» qui parle, sent et voit; retrouver d’où lui vient cette manière de dire, de sentir, de voir, comme s’il s’agissait chaque fois d’inventer la mémoire du commencement.

En commençant par la fin: ou la mort comme origine d'un impossible récit

Tout d'abord, il y a la fin. De celle-ci, véritablement, rien ne peut être dit. Elle est inconcevable: un point d'absence qui se saisit comme arrêt, toujours repoussé vers un ailleurs qui l'avale. Elle est ce que l'on ne peut appréhender, l'inaccessible refermé sur lui-même.

origine

La Black lodge de David Lynch

L’expérience de l’absence dans «La Vie voyageuse» de Maylis de Kerangal

Mémoire de l’origine dans «La bête faramineuse» de Pierre Bergounioux

En commençant par la fin: ou la mort comme origine d'un impossible récit

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