Les corps fluides dans «N'importe qu'elle page»
Maxime Poirier-Lemelin s'intéresse à l'inscription du sujet féminin dans le recueil N'importe qu'elle page (Les Herbes Rouges, 1984[1973]).
Maxime Poirier-Lemelin s'intéresse à l'inscription du sujet féminin dans le recueil N'importe qu'elle page (Les Herbes Rouges, 1984[1973]).
En s'appuyant sur l'essai Le Rayon rose (Les Herbes rouges, 2006), Michaël Blais s'interroge sur la possibilité d'une réconciliation entre l'Histoire et la communauté homosexuelle masculine.
Dans tous les cas, Sombrer manifeste, par sa narration, le type de regard qu’une explosion (provoquée par la sémiotique et les théories des formes de vie) peut générer dans l’être-au-monde d’un interprétant donné. Toutefois, les explosions prenant place dans le récit sont de toute autre nature. Cette parallaxe, pour ce qui est de la narration, permet de mettre en scène le type d’attention particulière aux formes que prend la vie, et ce, des gestes les plus intimes aux mouvements les plus généralisés.
Par le biais de ce texte, qui à la fois s’inspire de et s’appuie sur les réflexions ainsi que les observations de penseurs et de chercheurs issus de divers domaines, notre objectif est de proposer une sorte d’état des lieux de cette nouvelle conjoncture du biopouvoir engendrée par le contexte de pandémie, alliant les outils numériques aux mécanismes biopolitiques. Par extension, il s’agit aussi d’observer et d’interroger comment cet événement a bousculé en très peu de temps notre perception de la vie, de ses formes mêmes et des significations qui en découlent.