Le pacte moral comme condition d'existence du photojournalisme humanitaire
La photographie humanitaire constitue un portrait non pas tant des crises humanitaires dans leur ensemble, mais un portrait plutôt de ses effets.
La photographie humanitaire constitue un portrait non pas tant des crises humanitaires dans leur ensemble, mais un portrait plutôt de ses effets.
Daniel Grenier, Amélie Paquet, Geneviève Pettersen, Paule Mackrous et Myriam Daguzan Bernier discutent de leur pratique d'écriture sur le web.
«En tant que blogueur actif, j'ai ouvert mon blogue (All Work And No Play) il y a trois ans, mais l'an dernier, j'ai délibérément choisi de me prêter à l'expérience qui consisterait à mettre tout ce que j'allais écrire sur mon blogue.»
Mon oeil curieux raffole depuis longtemps de revues médicales aux images toutes plus fascinantes les unes que les autres. Avide, mon regard parcourt les photographies de sujets affectés par les maladies de peau, lésions et infections, les schémas du cerveau, les avant/après d'un nouveau traitement et, surtout, ces images incroyables révélant les structures du biologique. Ces images sondent l'univers du corps humain, de la surface de la peau aux structures microscopiques internes qui le composent.
Cette présentation consiste en l'analyse du roman de science-fiction Le Goût de l'Immortalité écrit en 2005 par l'écrivaine Catherine Dufour. Dans ce roman, Dufour se pose des questions importantes sur le posthumanisme, le rôle de l'environnement et les démarcations entre l'organique et l'artificiel. Ce roman a été choisi comme un cas d'étude d'une performance littéraire de la vision posthumaniste, mais aussi comme un livre qui explore l'interrelation entre l'humain et la nature.