photographie

Conférer des qualités picturales à la projection: de la transposition intermédiale de l'artiste à l'action commissariale qui en redouble l'effet.

«L'exposition Intrus/Intruders présentée au Musée des Beaux-Arts du Québec en 2008-2009 consistait à intégrer des oeuvres d'art actuel dans les sept salles consacrées à la mise en valeur des collections historiques. L'objectif principal de ce projet était d'établir un dialogue entre l'art actuel et l'art historique à la fois au niveau des sujets et des médiums.

The Magic Lamp and the Gazomètre: Reading the 1825 Paris Diorama.

«From 1822 to 1829, the Paris Diorama was located on the rue Samson, near what is today Place de la République, then known as the Boulevard du Crime, district named for the melodramas that were staged there. It was across from the Vaux Hall, an amusement park imported from London and down the street from the popular Panorama. An auditorium was build specifically for the Diorama looking much like a modern-day cinema but with sky lights intended to illuminate the painted panels and a rotating floor.»

La puissance de l'image documentaire: les «scavengers» et les mines d'ordures

En 2002, le photographe français Paul-Antoine Pichard a réalisé une série de photos intitulée Mines d’ordures, où l’on voit des gens qui fouillent dans les décharges et les dépotoirs de divers pays: Cambodge, Philippines, Sénégal, Inde, Madagascar, Égypte, Mexique, Thaïlande. Une image, en particulier, montre la puissance des inégalités socio-économiques.

Le temps interrompu. L'événement contemporain entre narrativité et historicité

Alors que l'événement, dans les autres textes du présent ouvrage, est parfois lié aux affects, parfois envisagé dans son effacement ou sa problématisation, dans le contexte essentiellement fictionnel et romanesque, il me paraît stimulant d'entamer une réflexion sur le rôle de l'événement en narrativité contemporaine.

Postmodernisme et féminisme. Étude de «Des histoires vraies+dix» de Sophie Calle

Rituels, jeux, règles à suivre, répétitions, mystères, filatures. Autant de mots qui définissent la démarche artistique de Sophie Calle. L'hommage qui lui a été rendu en 2003 au Centre Pompidou à Paris et l'imposant catalogue «Sophie Calle m'as-tu vue» tiré de cette exposition montrent à quel point l'artiste use de méthodes artistiques extravagantes.

Retour sur l'iconographie de l'ouragan Sandy

À l'époque contemporaine, chaque événement catastrophique de grande envergure a droit à une iconographie abondante. Depuis le 11 septembre et son archivage audiovisuel collossal, il est de coutume d'avoir droit, dans les jours suivant un drame majeur, à des milliers de clichés pris par des amateurs et des professionnels. La semaine dernière, l'ouragan Sandy et ses conséquences désatreuses a donné droit à des images spectaculaires. Le hic, c'est que certaines des plus célèbres de ces photographies avaient été rendues possibles par des trucages rapidement décelés et dénoncés. Jean-Noël Lafargue a publié sur le site OWNI.fr une brève réflexion très pertinente sur le phénomène de la falsification des images de la catastrophe. Je souhaite à mon tour partager quelques observations à propos des retombées de Sandy au plan des images numériques.
Conférence

Université du Québec à Montréal

Representing the Nuclear Imaginary

OBrian, John
Dans le cadre du 9e congrès international pour l'étude des rapports entre le texte et l'image (AIERTI/IAWIS) qui s'est déroulé à l'Université du Québec à Montréal du 22 au 26 août 2011, John O'Brian a présenté une conférence intitulée «Representing the Nuclear Imaginary».
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