Georges Perec et la crise du langage. De la critique du Nouveau Roman à l'apologie de Robert Antelme
Dans Littérature et engagement, Benoît Denis situe le déclin de la littérature engagée au tournant des années 60: «Après dix ans d’hégémonie du discours sartrien sur la littérature, on constate vers le milieu des années cinquante, et plus visiblement encore au début de la décennie suivante, un très net reflux de l’engagement littéraire.»