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Conférence

Université du Québec à Montréal

Le web est une histoire: sous le flux, les questions

Bon, François
Au privilège de l’ancienneté, exploration avec François Bon, pour fêter ses 20 ans de connexion Internet, d’un certain nombre de sites, blogs et plateformes photographie, vidéo, narration ou combinaisons des trois, retour sur l’évolution de ces sites et tentatives, plus quelques incursions dans son

Les groupes de filles comiques au Québec: filiation en folies

Il reste que, par le seul fait de se constituer en équipes pour faire rire, ces femmes établissent entre elles une filiation dans la comédie, filiation qu’on abordera à partir de certaines questions générales: comment se sont positionnées ces femmes par rapport au féminisme? Quels sont les thèmes privilégiés, les cibles visées, par les groupes? Peut-on voir une inter-influence entre leur vision du monde et leur vision de l’humour? Que nous apprennent ces groupes quand on les inscrit dans un continuum historique, discursif et social?

Le virtuel. Vingt ans après. Lecture croisée de «(As Francesca)» de Martha Baer et de «De synthèse» de Karoline Georges

«En prenant compte des transformations de nos préconceptions de l'Internet et du virtuel», le participant procède à une lecture croisée de As Franscesca de Matha Baer et De synthèse de Karoline Georges, «deux romans séparés par plus de vingt ans, qui mettent en jeu des versions fort contrastées du virtuel» et «qui ont en commun de jouer sur les liens complexes qui se tissent entre le virtuel et le réel».

Du féminisme et de la pop

Après le long backlash des années 1980 et 1990, on remarque une résurgence graduelle du féminisme dans le discours contemporain, plus particulièrement dans les diverses sphères de la culture pop. On assiste véritablement à une fashionisation et une peoplisation du féminisme, et, par la force des choses, à l’apparition d’un nouveau paradigme: le popular feminism, ou féminisme populaire, c’est-à-dire un féminisme qui flirtent étroitement avec les notions de vedettariat, mais aussi de capital et de mise en spectacle.

«O Machine!»: La machine universelle, une comparaison entre “The Machine Stops” (1909) de E. M. Forster et "The Diamond Age or A Young Lady’s Illustrated Primer" (1995) de Neal Stephenson

Cette présentation a pour but de comparer deux textes séparés de presque un siècle, mais dont les résonances sont surprenantes. Depuis Descartes, l'homme craint de n'être qu'une machine. Si au XIXe siècle, ère de la thermodynamique, la machine supplante le corps de l'homme, c'est son intelligence qui se voit remplacée par celle de sa création au XXe siècle avec les sciences de l'information.

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