Esthétique
Aux origines de la popification cinématographique
Depuis le promontoire de notre postmodernisme recycleur, la «popification» semble bien la moindre des choses. Outre l’appel des œuvres à l’érudition pop du public et la pertinence du strabisme interprétatif lors de l’acte de réception (un œil sur l’œuvre recycleuse et un autre sur son modèle recyclé reconnu), cet air du temps incite aussi le discours critique à rivaliser d’audacieux courts-circuits historico-esthétiques, de sagaces reconnaissances.
La greffe
Il est temps de sortir vos excroissances, protubérances et appendices de toute sorte car cette semaine nous parlons des greffes dans la culture pop.
Dennis O'Neil
La première édition d'une nouvelle série Portraits de bédéistes proposée par Mathieu Li-Goyette.
Le Bioart, un art de l’entre-deux?
L'invisibilité dans la culture pop
Pour la 66e émission de Pop-en-stock, on parle d'un thème VISIBLEMENT omniprésent dans la culture: l'invisibilité.
Quel devenir pour l’humanité? L’image, l’homme, la technologie de Boris Vian à J.G. Ballard
1948. Boris Vian fait paraître en France Et on tuera tous les affreux sous le pseudonyme de Vernon Sullivan. Vingt-cinq ans plus tard, en Angleterre, est publié le premier volet de la Trilogie de béton de James Graham Ballard, Crash!. Entre les deux romans, aucun lien apparent. Le premier situe ses acteurs dans le Los Angeles de l’après-guerre, et les plonge malgré eux au cœur d’une enquête policière qui les mènera à un certain Dr Schutz, pratiquant une sélection humaine rigoureuse afin de créer une société dont seront éliminés tous les affreux. Le second se déroule dans un Londres temporellement indéterminé, où la technologie a complètement envahi le paysage urbain et les vies des protagonistes.
Le réel des frontières fantastiques
Les sculpteurs de chair
Les sculpteurs de chair
Le greffon rebelle: aux sources d’un leitmotiv littéraire et cinématographique
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