Volume:
18
Year:
2008
Prenons d’abord les mots «imaginaire» et «fantastique».
Que le fantastique soit très répandu dans notre contexte psychosocial, rien de plus certain. À mon sens, c’est une sorte de soupape dans un espace non seulement borné, surcodé, mais asphyxiant. C’est le signe même d’un confinement, d’un esprit déconnecté, tournant en rond. C’est la forme infantile de l’imaginaire. Le mot «imaginaire» est bien plus complexe. Mais je suis loin d’être sûr que l’imaginaire soit la clé de la grande spatialisation qui me semble nécessaire. Pour beaucoup, «art», «poésie» sont synonymes d’«imaginaire». Je mets cela radicalement en question.
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To cite this document:
À la recherche de l’espace perdu. Approches de la géopoétique”. In Le nouveau territoire : l'exploration géopoétique de l'espace. Article d’un cahier Figura. Available online: l’Observatoire de l’imaginaire contemporain. <https://oic.uqam.ca/en/articles/a-la-recherche-de-lespace-perdu-approches-de-la-geopoetique>. Accessed on May 1, 2023. Source: ( (ed.). 2008. Montréal: Figura, Centre de recherche sur le texte et l'imaginaire. coll. Figura, vol. 18, pp. 11-30).
. 2008. “Attachment | Size |
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Research Areas:
Problematics:
Objects and Cultural Pratices: