OBSERVATOIRE DE L'IMAGINAIRE CONTEMPORAIN
Université du Québec à Montréal
Masques et jeux vidéo. Essai de classification: masques accessoires, identitaires et fusionnels
L’imaginaire du bourreau masqué
Le masque neutre au théâtre: masque de vie ou masque de mort?
Les masques des politiques aux premiers temps de la COVID-19
Interculturalité. Le masque Kaba Ngondo
Garbyan, Ouambei
De l'élaboration à la réalisation du balado «Mer contre terre, son contre vision»
À la suite de ma lecture du récit fascinant de la biologiste Alexandra Morton, À l’écoute des orques: ma vie avec les géants de la mer (2020), dans lequel elle raconte l’évolution de son rapport à l’épaulard tout au long de sa carrière de chercheuse, j’ai eu l’envie de répondre à ce «plaidoyer pour la survie des orques» (Morton, 2020: 14) à travers un balado qui propose d’interroger et de remettre en question la manière de porter attention à l’orque.
Marcher avec «Okinum»
Mon premier contact avec la pièce Okinum remonte à l’automne 2018. Elle était présentée au Centre du Théâtre d’Aujourd’hui par l’artiste en résidence Émilie Monnet. Une pluie froide de novembre tombait sur l’île de Montréal et l’ambiance tamisée de la salle de spectacle créait un lieu chaleureux et réconfortant.
Femmes, animaux, forêt et prédation: une lecture écopoétique et écoféministe de «If We Were Birds» d’Erin Shields
L’analyse que je propose ici est aiguillée par un corollaire important de la parole des femmes mise en scène dans If We Were Birds, soit la figure animale à laquelle elle est liée, l’oiseau. L’importance accordée à cette figure, qui habite le titre même de la pièce, de même que l’utilisation marquée d’un champ sémantique lié à la prédation, sont les points de départ qui permettent de situer ma lecture à la croisée de l’écopoétique et de l’écoféminisme.
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