Si Victor Segalen a acquis la réputation d’être un écrivain qui n’aimait pas la mer, il n’en demeure pas moins que le premier voyage en mer joue un rôle primordial dans son rapport à l’écriture.

Au désert, nul ne peut se fixer, s’installer, sous peine de sombrer dans la folie ou dans le néant: on n’habite pas le désert, c’est lui qui nous habite.

Sahara, un nom formé à partir de la racine «sahar», qui désigne les nuances colorées du désert de sable, l’un des nombreux noms du désert en arabe.

Espaces hostiles à l’être humain, présentant des conditions de vie extrêmement difficiles, les déserts demeurent pour beaucoup d’entre nous des espaces blancs sur la carte du monde.

L’une des singularités des déserts tient dans le fait que l’humain n’y a pas laissé de traces, si l’on excepte bien entendu les zones pétrolifères.

Si les écrivains-voyageurs québécois du 20e siècle se tournent vers de nouvelles destinations, il faut bien admettre que l’Afrique du Nord reste une région encore peu parcourue.

Lire… un verbe qui se conjugue à toutes les personnes, à tous les temps et qui s’applique à divers objets.

À la barre de La Traversée – Atelier québécois de géopoétique, Rachel Bouvet nous présente le processus de création des Carnets de navigation produits à la suite de chacun des ateliers nomades.

Il est d’usage, lorsque l’on s’interroge sur les images de l’autre en littérature, d’étudier l’altérité humaine.

A wide variety of approaches to space, place, landscape, and nature have been developing in French and Francophone literary studies over the last decade.