Le présent article cherche à montrer comment, dans «Démolir Nisard», Chevillard s’emploie à se situer en dehors de cet horizon d’attente par toutes sortes de procédés.
La réflexion éthique sur les rapports entre valeurs et fiction est un terrain risqué, pour ne pas dire miné, où l’on ne s’aventure guère – du moins dans la pensée francophone.