L'identité est une question d'histoire. On raconte des histoires lorsqu'il s'agit d'identités. C'est pourquoi, je vais commencer aujourd'hui par vous raconter une série d'histoire pouvant sembler sans liens avec mon titre mais, il y en a un.
Cette présentation vise à donner des clés de lecture sur un des pents qui est le moins connu du travail d'Agamben, notamment les questions de biopolitique avec les concepts qui lui sont associés.
Dans le cadre du groupe de recherche-création Hochelaga Imaginaire, Réjean Charbonneau, directeur-archiviste de l'Atelier d'Histoire d'Hochelaga-Maisonneuve, dresse un parcours historique et culturel du quartier.
Sylvain David parle du punk, «non pas comme pratique, non pas comme mode, mais comme vision du monde, c'est-à-dire comme grille interprétative de l'univers extérieur».
«La date, 3 novembre 2014. Un lundi, quarante ans plus tard. L'heure, dix heures quarante-cinq. Le lieu, Place Simon-Valois. Le temps frais, très frais. Partiellement nuageux. Passage d'un balai mécanique.»
Catherine Saouter traite de la trilogie de bande dessinée «Le photographe» de Didier Lefèvre, Emmanuel Guibert et Frédéric Lemercier, de la photographie, du dessin, du dessin documentaire, de la démarche documentaire, photographique ou non.
Christophe Meurée traite du contexte théorique des recherches actuelles sur l'entretien en appuyant cette contextualisation d'exemples tirés, non seulement de l'entretien de Michel Houellebecq dans le magazine Lui, mais aussi de Marguerite Duras.
«Pourquoi j'ai accroché à la figure de l'écrivain déambulateur? Pourquoi j'écris à partir de la déambulation? Comment la déambulation fascine l'immigrant?»