Le caricaturiste Plantu a donné, le 20 janvier 2016, une conférence intitulée «Libérez les crayons!». Cet événement a été organisé avec la participation du centre de recherche Figura, du programme de recherche RADICAL et de la Cinémathèque québécoise.
Peut-on faire état du rire en guerre? C'est ce sur quoi s'est penché Bernard Andrès lors de sa conférence prononcée à la Maison des écrivains - UNEQ le 26 janvier 2016.
«Notre attention se vend aujourd’hui très cher, et pas forcément pour de très bonnes causes. Peut-on imaginer d’en faire l’objet d’une approche écologique, plutôt qu’économique?»
«Qu'attend-on au juste d'une conférence d'écrivain? Sans bien connaitre la réponse je sais que je dois construire un temps passé de l'écriture qui, mis en voix, deviendra sous vos yeux un temps présent de la parole. Pour entamer cette construction, je pense à ce qui nous relie.
Au cours de cet entretien, Pierre Senges nous présente son parcours d'auteur. Il traite plus particulièrement de sa plus récente oeuvre, «Achab (séquelles)», publiée en 2015 chez Gallimard.
Dans le cadre du cycle de conférences en résonances médiatiques 2015-2016, Myriam Daguzan Bernier a prononcé une conférence intitulée «Ma mère était hipster, entre blogue, curation web et slow media».
L'approche sociocritique du numérique en éducation est une approche récente qui a davantage été réfléchie dans les pays anglo-saxons. Elle en est a un stade de développement initial au niveau de l'espace francophone.
Dans sa conférence, Damien Beyrouthy donne un aperçu de son travail de thèse, notamment en présentant un outil théorique qu'il développé, l'oscillation ouvrante, et des applications rendues possibles pour l'interrogation des rapports contemporains entre corps et image.
«Qui dira la joie qu’on éprouve à disparaître, à faire faux bond, à se soustraire, à tout laisser derrière soi, et à se fondre dans le paysage? Ces lignes de Christian Garcin dans Selon Vincent disent bien la force d’attraction impérieuse et romanesque d’un désir de disparaître.»